Catégorie dans Communiqué

Stéphane Barré aux côtés des agents du Centre Hospitalier du Rouvray

  

Avec Hubert Wulfranc, député, Thierry Foucaud, sénateur de la Seine-Maritime, Benoît Hamon, Président de Générations, Joachim Moyse, maire de Saint-Etienne du Rouvray et Conseiller régional, Stéphane Barré, maire d’Oissel et président du groupe communiste du Front de Gauche au Département est venu soutenir dans leur lutte, au nom du groupe, les agents du Centre Hospitalier du Rouvray.

Sept d’entre-eux ont engagé une grève de la faim pour obtenir simplement les moyens d’exercer leurs compétences et de soigner les patients dignement.

Motion de soutien du syndicat SUD du Département de Seine-Maritime : 2018 06 04 – Courrier PCD CHSR juin 2018

Mise à l’abri des mineurs isolés non accompagnés : les élus communistes proposent que la Préfecture réquisitionne des chambres dans les hôtels

La Commission Permanente du Département a décidé ce jour d’établir des conventions financières de prise en charge hôtelière et de restauration avec des hôtels, pour permettre de renforcer l’hébergement de mineurs isolés non accompagnés, faute d’un nombre de places suffisant en établissements compte tenu du nombre de mineurs concernés.
Le groupe communiste du Front de Gauche propose d’aller plus loin : que la Préfecture, sur demande du Département, puisse réquisitionner des chambres en nombre suffisant et pas uniquement concentrées sur quelques hôtels. Charge à l’Etat d’aider le Département à financer ces hébergements auprès des hôteliers.
La mise à l’abri des mineurs est, rappelons-le, une obligation légale couverte par toutes les conventions internationales.
La délibération adoptée : 2018 05 28 – Délib CP hotel MNA

Sophie Hervé et Alban Bruneau obtiennent une nouvelle table ronde consacrée à la suppression du péage d’Epretot sur l’A29

Depuis des années, les Conseillers départementaux communistes de l’agglomération havraise sont mobilisés, aux côtés de nombreux autres élus locaux et des usagers, pour obtenir la suppression du péage, au tarif prohibitif, d’Epretot sur l’A29.

Un péage qui entrave gravement les déplacements à l’entrée d’une agglomération ceinturée de péages, en reportant un trafic conséquent venant congestionner la route départementale 6015 (voir articles précédemment publiés sur ce blog).

A force d’interventions, le Vice-Président du Département en charge des routes, Alain Bazille, a décidé de convoquer une nouvelle table ronde sur le sujet, fin juin, début juillet, avec tous les acteurs concernés : concessionnaire autoroutier, élus départementaux, régionaux et représentants des deux intercommunalités directement impactées par ce péage.

Une très bonne nouvelle qui, si elle ne présume pas des suites qui seront données, constitue pour l’heure une reconnaissance supplémentaire de la justesse de cette revendication portée par Alban Bruneau et Sophie Hervé, Conseillers départementaux, et relayée en direction de l’Etat par Jean-Paul Lecoq, Député.

Le Département de Seine-Maritime prend en tout cas le sujet à bras le corps.

Liens sur ce sujet : 

http://departement.elus76.com/?s=A29

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Limitation de vitesse à 80 km/h : le groupe communiste demande la tenue d’un débat au sein du Département

Stéphane Barré, président du groupe communiste et républicain du Front de Gauche au Conseil départemental de Seine-Maritime, a saisi le président Pascal Martin pour lui demander d’organiser un débat sur la limitation de vitesse à 80 km/h sur les routes départementales, décrétée par le Premier Ministre, afin que le Département de Seine-Maritime puisse, le cas échéant, engager des démarches en vue d’obtenir l’aménagement de cette décision.

« Monsieur le Président, cher collègue,

Comme vous le savez, la décision prise par le gouvernement, sans aucune concertation préalable notamment auprès des départements, de limiter uniformément à 80 km/h la vitesse autorisée sur les routes départementales à deux voies à compter du 1er juillet soulève une forte opposition.

De la part des associations d’usagers de la route, de la part de nombreux Conseils départementaux dont 31 ont pris l’initiative d’écrire au 1er Ministre pour lui demander d’aménager cette mesure ou encore de la part de milliers d’élus locaux.

Il faut reconnaître que l’empressement gouvernemental à annoncer cette décision brutale manque particulièrement de discernement et entraine une forte incompréhension, ainsi qu’un fort doute sur la réelle efficacité de cette mesure. 

D’autant plus que l’analyse pour le moins sommaire sur laquelle repose cette décision est contestée par des éléments factuels tirés notamment de l’expérimentation conduite dans ce domaine sur plusieurs départements. Expérimentation qui a mis en évidence que cet abaissement de la vitesse autorisée n’a non seulement pas conduit à une diminution du nombre d’accidents mais qu’au contraire, les accidents légers se sont accrus.

Enfin, il nous paraît incompréhensible s’agissant de routes dont la gestion a été confiée par les lois de décentralisation aux départements, et alors même que nos collectivités sont en charge des collèges départementaux de sécurité routière amenés à analyser et à proposer des mesures correctives après chaque accident mortel survenu, nous ne puissions dire mot quant à l’application uniforme de cette limitation à 80 km/h.

En l’absence de Conseil départemental durant cette période et considérant que notre prochaine séance se situera quelques jours seulement avant l’entrée en vigueur de cette décision, notre groupe souhaiterait la tenue d’un débat, lors d’une réunion spécifique de la Commission infrastructure ou en Commission permanente afin de pouvoir déterminer la position de notre collectivité sur cette question et, le cas échéant, pouvoir engager des démarches en vue de demander l’aménagement de cette décision.

Dans cette attente, nous vous prions de croire, Monsieur le Président et cher collègue, en l’expression de nos sincères salutations. »

Pour télécharger ce courrier : 2018 04 12 – Let Pdt 80 km h

Article de « Paris-Normandie » du 16 avril : 2018 04 16 – PN

Nouvelles démarches en vue d’obtenir la gratuité du péage d’Epretot sur l’A29

Particulièrement surpris et insatisfaits par la réponse apportée par le Vice-Président en charge des infrastructures au Département concernant leurs démarches engagées en vue d’obtenir la gratuité du péage d’Epretot sur l’A29, Sophie Hervé et Alban Bruneau viennent de le saisir à nouveau pour que toute la transparence soit faite sur ce dossier.

Ce péage autoroutier au tarif prohibitif dissuade en effet depuis des années les habitants et salariés de la Pointe de Caux de recourir à l’autoroute pour leurs déplacements quotidiens, entrainant ainsi un report de circulation sur les routes départementales désormais engorgées.

Pour télécharger le courrier du Vice-Président : 2018 03 14 – Rép. Dépt péages

Pour télécharger le courrier de réponse de Sophie Hervé et Alban Bruneau : 2018 04 04 – Let Bazille péage Epretot

Pour retrouver tous les éléments concernant ce sujet :

Poursuite de nos démarches en vue d’obtenir la suppression de la barrière de péage d’Epretot sur l’A29

Poursuite de nos démarches en vue d’obtenir la suppression de la barrière de péage d’Epretot sur l’A29

Poursuivant leurs démarches en vue d’obtenir la fin des barrières de péages routiers ceinturant l’agglomération havraise, phénomène unique en France pour une agglomération de cette dimension, Jean-Paul LECOQ, Député, ainsi que Sophie HERVE et Alban BRUNEAU, Conseillers départementaux, viennent d’engager différentes initiatives.

Concernant la barrière de péage sur l’A29, à hauteur d’Epretot, Sophie HERVE et Alban BRUNEAU viennent d’écrire au Département pour relancer le projet de gratuité. Cette hypothèse avait été évoquée sous forme d’une expérimentation, lors de la table ronde organisée sur ce sujet en juin 2016 par le Vice-Président en charge des routes au Département et par Jean-Paul LECOQ, alors Conseiller départemental.

Par ailleurs, le groupe communiste du Front de Gauche interviendra lors de la séance du Conseil départemental du 11 décembre sur la problématique des péages en Seine-Maritime.

Concernant cette même problématique mais également celle des péages sur les ponts de Tancarville et de Normandie, Jean-Paul LECOQ vient de saisir la Ministre des Transports. Il avait évoqué ce thème lors de sa rencontre au Havre avec la Ministre à la fin du mois d’octobre.

Pour télécharger le courrier de Sophie HERVE et Alban BRUNEAU : 2017 11 30 – Let Bazille sécurité route de St Laurent

Pour télécharger le courrier de Jean-Paul LECOQ : pagesintervention28-11-2017

Article du « Courrier Cauchois » du 19 janvier 2018 : 2018 01 19 – Courrier Cauchois péages

Article de « Paris Normandie » du 2 février 2018 : 2018 02 02 – Presse Havraise

Pour télécharger le courrier de réponse du Département : 2018 03 14 – Rép. Dépt péages

 

Le port de pêche du Havre bientôt de compétence départementale ? Sophie Hervé et Alban Bruneau s’en réjouissent

 

Suite aux nombreuses démarches directes ou écrites qu’ils ont engagées pour sortir le port de pêche du Havre de l’imbroglio administratif dans lequel il se trouve, et qui empêchait jusqu’à présent tout investissement pourtant utile, Jean-Paul Lecoq, Député, Sophie Hervé et Alban Bruneau, Conseillers départementaux, se réjouissent de la volonté du Département de débloquer cette situation en envisageant de prendre en charge la compétence de ce port, dès 2018 (sous réserve notamment d’une modification par l’Etat des limites administratives du Grand Port Maritime du Havre et d’un travail commun avec la Communauté d’agglomération havraise pour définir sa future gouvernance).

Le Département se propose également de mobiliser un plan d’investissements nécessaire à la revitalisation du port de pêche et de financer une étude pour rendre opérationnelle sa future structure.

C’est le sens de la délibération qui sera soumise au Conseil départemental du 11 décembre prochain. Elle sera bien entendu soutenue par le groupe des élus communistes du Front de Gauche au Département.

Le groupe communiste du Front de Gauche rappelle ainsi l’importance de ce port de pêche pour le Département, la filière pêche, pour les pêcheurs et leurs familles, mais aussi pour Le Havre et son quartier Saint-François notamment. Les havrais sont attachés à leur port de pêche comme l’a encore démontré récemment leur forte mobilisation lors des difficultés rencontrées par les pêcheurs dans la vente de la coquille Saint-Jacques en octobre.

Enfin, le groupe souhaite saluer l’action opiniâtre des pêcheurs et de leur Coopérative maritime, la COMHAV, à l’origine de ce port en 1996 suite à un forte action en lien avec la Municipalité Duroméa-Colliard et qui, depuis plusieurs années, alertent sur les conditions dégradées de ce port, orphelin de collectivité de rattachement et de financements.

L’intervention répétée et tout aussi opiniâtre au cours des dernières années des élus communistes de l’agglomération havraise, et notamment de  Jean-Louis Jégaden, Nathalie Nail, Michel Barrier, Céline Brulin, Jean-Paul Lecoq, Sophie Hervé ou Alban Bruneau, aura permis de faire bouger les choses. Ils restent cependant mobilisés pour s’assurer des suites concrètes qui seront données aux décisions.

20 navires de pêche sont immatriculés aujourd’hui au Havre sur les 136 que compte le Département

Pour télécharger le rapport de séance et le projet de délibération du Conseil départemental : Rapport du 11 Décembre 2017-1078-1083

Pour retrouver les différentes interventions de Jean-Paul Lecoq, Sophie Hervé et Alban Bruneau sur le port de pêche du Havre :

http://departement.elus76.com/2017/10/le-port-de-peche-du-havre-est-menace-sophie-herve-et-alban-bruneau-alertent-le-departement/

http://www.jeanpaul-lecoq.fr/spip.php?article159

http://www.jeanpaul-lecoq.fr/spip.php?article157

http://departement.elus76.com/2017/02/le-port-de-peche-du-havre-en-rade-dinvestissements-et-orphelin-de-collectivite-jean-paul-lecoq-saisit-la-prefete/

http://departement.elus76.com/2016/10/plan-departemental-de-soutien-a-la-filiere-peche-les-propositions-des-elus-communistes-au-departement/

 

 

 

Le Centre Médico-Social de Gonfreville l’Orcher a besoin de tous ses personnels pour fonctionner !

Depuis maintenant une année, le Centre Médico Social (CMS) de Gonfreville l’Orcher doit faire face à l’absence, pour maladie, de l’une des trois assistantes sociales en poste au sein de cette équipe, ce qui entraine bien entendu une dégradation particulièrement regrettable et durable des conditions de prise en charge et d’accompagnement des usagers.

C’est pour relayer ces difficultés, mais surtout pour obtenir le remplacement de cette professionnelle dont la présence est indispensable pour prendre en charge les besoins des usagers, qu’Alban Bruneau, Conseiller départemental, vient d’interpeler le Président du Département.

Il demande notamment que « conformément aux engagements pris par notre Département, chef des files des solidarités, pour répondre à ses missions fondamentales, je souhaiterais obtenir dans les plus brefs délais l’affectation d’une assistante sociale au sein de ce CMS. »

Télécharger le courrier : 2017 11 14 – Courrier AB CMS GO

Télécharger le courrier de relance : 2018 01 29 – Courrier AB CMS GO – Relance

Télécharger la réponse obtenue : 2018 02 22 – Rép CMS GO

Télécharger le courrier de réaction à la réponse : 2018 03 21 – Courrier AB CMS GO – Suites

La Lettre d’information de Séverine Botte et Stéphane Barré diffusée sur le canton de Saint-Etienne-du-Rouvray

Séverine Botte et Stéphane Barré, Conseillers départementaux, viennent de publier une lettre d’information diffusée sur le canton de Saint-Etienne-du-Rouvray, pour notamment présenter les diverses interventions et positions prises lors du dernier Conseil départemental de Seine-Maritime le 25 septembre dernier.

Pour télécharger la lettre : La Lettre

 

 

Le collège Jean-Charcot d’Oissel a besoin de moyens ! Intervention de Séverine Botte et de Stéphane Barré

Aucun cours de sciences physiques pour deux classes de 4e, manque d’anticipation concernant le remplacement d’un enseignant d’arts plastiques, le professeur référent de la classe ULIS ou encore le congé maternité d’une enseignante de mathématiques… Les conditions d’enseignement au sein du collège Jean-Charcot d’Oissel nécessitent rapidement des moyens adaptés.

Séverine Botte et Stéphane Barré, conseillers départementaux, ont saisi la direction des services de l’Education nationale après avoir participé, le 11 octobre dernier, au rassemblement organisé devant l’établissement pour dénoncer le manque de moyens humains dont souffre ce collège pourtant situé en quartier prioritaire.

Hubert Wulfranc, Député, en a fait de même.

Télécharger le courrier : 2016 10 16 – Courrier Charcot S. Botte S. Barre