Catégorie dans Communiqué

RD6015 : Alban Bruneau insiste pour obtenir le réaménagement du tronçon Gainneville/Harfleur

Lors de la réunion du collège départemental de sécurité routière qui s’est tenue le 27 juin dernier à Gainneville, Alban Bruneau a questionné sur l’état d’avancement du projet de réaménagement de la RD6015 entre Gainneville et Harfleur, et insisté pour qu’il puisse avancer rapidement eu égard aux enjeux de mobilité, mais aussi aux problématiques rencontrées quotidiennement sur ce tronçon. L’accidentologie constatée entre l’entrée de Gainneville et Harfleur sur cette RD6015 atteste de l’importance de travailler sur ce réaménagement.

Or, depuis une réunion le 27 février 2023 consacrée aux entrées routières du Havre, aucun travail n’a été engagé sur ce sujet. Le tronçon Gainneville/Harfleur est le plus congestionné de cette route départementale avec notamment des flux de circulation particulièrement denses et des ralentissements conséquents à hauteur de la commune de Gainneville et de son intersection avec les communes de Rogerville et de Saint-Laurent-de-Brèvedent, ainsi qu’en traversée de Gonfreville l’Orcher.

Cette situation entraine d’importantes nuisances et des problématiques de pollution et de sécurité sur ces différentes communes.

Par ailleurs, en terminaison de la RD6015 vers Harfleur, dans la côte dite de Gainneville entraine des questions de sécurité routière imputables notamment à l’état de la chaussée, au marquage au sol et à l’insuffisance de l’éclairage public.

La mise en service du centre de recyclage de la Communauté urbaine sur la ZAC du Cantipou nécessiterait la création d’un raccordement sur la RD6015 à hauteur de Bévilliers afin d’éviter aux usagers de traverser toute la zone commerciale, d’autant plus que le site de Bévilliers va accueillir prochainement de l’habitat.

Ce sont notamment ces diverses problématiques qu’il convient d’intégrer dans ce projet.

Alban Bruneau vient par conséquent de saisir de nouveau le Vice-président en charge des routes.

Pour télécharger le courrier envoyé : RD6015 AB 2024

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Sophie Hervé demande un renforcement des effectifs dans les bureaux de La Poste sur l’agglo havraise

Mardi 12 novembre, à l’appel de leurs organisations syndicales, de nombreux agents de La Poste ont fait valoir leur droit de grève afin de dénoncer une dégradation de leurs conditions de travail qui affecte également le niveau et la qualité de service offert aux usagers dans les 15 bureaux implantés sur Le Havre et l’agglomération.

En cause un manque d’effectif entrainant notamment une insatisfaction d’usagers avec comme conséquences un accroissement des incivilités, mais également la fermeture ponctuelle de bureaux.

La tendance étant déjà depuis une décennie à la réduction de la présence postale avec des suppressions/regroupements de bureaux et une baisse des amplitudes horaires d’ouverture, il est difficilement compréhensible que le niveau de service existant ne soit pas garanti à partir d’effectifs en nombre suffisant.

Sophie Hervé, Conseillère départementale du Havre qui siège également pour le Département au sein de la Commission Départementale de Présence Postale Territoriale, a donc saisi la Direction Régionale du groupe La Poste pour s’assurer qu’elle prend au sérieux ces alertes et travaille, de concert avec les organisations syndicales, à un renforcement des effectifs dans les différents bureaux de l’agglomération.

Dans son courrier elle s’étonne également « qu’il faille attendre un mouvement social pour répondre à ce qui apparaît comme un aspect fondamental d’un service au public : adapter les moyens aux besoins des usagers, en veillant au bien-être des agents qui en ont la charge. »

Pour télécharger le courrier envoyé : La Poste mouvement social SH

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Gainneville La Vallée : nouvelle intervention d’Alban Bruneau pour sécuriser la RD34

Les problématiques d’insécurité routière sur la RD34 qui exposent les riverains de la Vallée à Gainneville, appellent de la part du Département des interventions complémentaires aux deux chicanes provisoires réalisées il y a quelques années. Suite à la réunion organisée en septembre 2023 à ce sujet, il avait été convenu que le Département procèderait à des aménagements entre ces deux chicanes dans l’attente que la commune réalise une étude globale sur la mise en sécurité durable de cet axe en traversée de La Vallée. Or à ce jour ces aménagements n’ont pas encore été réalisés.

Alban Bruneau vient donc de saisir, de nouveau, le Vice-président Alain Bazille en charge des routes départementales pour demander qu’il soit procédé à ces aménagements dans les plus courts délais. Il explique également qu’il apparait nécessaire sans plus attendre de renouveler le marquage au sol, de revoir l’implantation du passage protégé qui pose problème, de sécuriser les abords de l’arrêt de bus et d’intervenir sur l’entretien des espaces verts générant un manque de visibilité.

Pour télécharger le courrier envoyé : Sécurisation RD34 Gainneville AB 2024

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Situation du chantier naval de Fécamp : Alban Bruneau et Laurent Jacques interviennent

Après plusieurs mois marqués par des retards dans les versements, la quinzaine d’ouvriers du chantier naval Mouquet à Fécamp n’ont pas reçu leur salaire mensuel et expriment leur plus vive inquiétude concernant l’avenir de leur emploi, dans un contexte marqué par l’annonce de la liquidation du chantier naval MIM, Manche Industrie Marine, installé à Dieppe et appartenant au même groupe FIPAM.

Ils indiquent également être confrontés à un manque d’information et de dialogue avec leur direction, ce qui ne fait qu’accentuer leurs craintes.

Alban Bruneau et Laurent Jacques, Conseillers départementaux communistes membres de la Commission départementale des infrastructures en charge notamment du suivi des ports départementaux, ont saisi le Vice-président Alain Bazille pour s’assurer de son intervention auprès de la direction de l’entreprise et celle du groupe pour d’une part connaître la réalité de la situation de ce chantier naval, et d’autre part contribuer à défendre les droits de ses salariés.

Pour télécharger le courrier envoyé : Chantier naval de Fécamp AB LJ 2024

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Tribune du mois de novembre : Pour que les personnes en situation de handicap puissent exercer pleinement leur citoyenneté

Tribune du Groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine

Bulletin départemental du mois de novembre 2024

Pour que les personnes en situation de handicap puissent exercer pleinement leur citoyenneté

Le succès des Jeux Paralympiques a contribué à changer notre regard sur le handicap. Ce fut un merveilleux levier pour promouvoir l’égalité des droits et la lutte contre les discriminations, dans un contexte où l’extrême-droite appelle au repli sur soi, au tri des individus, à la loi du plus fort.

Près de 15% de nos concitoyens vivent avec un handicap visible ou non, ce nombre tend à s’accroître.

Si les pouvoirs publics affirment leur volonté d’agir pour faciliter la vie quotidienne des personnes en situation de handicap, mais aussi pour qu’elles puissent exercer pleinement leur citoyenneté, les moyens mobilisés ne sont pas à la hauteur des engagements, ni des besoins.

Chaque élève devrait bénéficier d’un AESH : ce n’est pas le cas.

La MDPH dont les moyens ont certes été renforcés mais pas au niveau qu’exige l’accroissement des besoins, n’instruit toujours pas les demandes dans des délais raisonnables.

Les Agendas d’Accessibilité Programmée pour rendre accessible les équipements et espaces publics s’allongent dans la durée parce que les communes voient leurs moyens budgétaires rognés par les politiques gouvernementales.

La loi Macroniste ELAN a diminué les exigences en matière de logements adaptés.

Fort de l’héritage des J.O., la prise en compte du handicap doit passer à la vitesse supérieure et être mise à l’abri des affres des restrictions budgétaires et du validisme. La priorité humaine dans une politique publique ne doit pas avoir de prix.

C’est ce que nous défendons.

gauchecombative.76@gmail.com

Pour télécharger la tribune : Tribune mois de Novembre 2024

Tribune du mois de septembre : Mettons le cap à Gauche aussi en Seine-Maritime

Tribune du Groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine

Bulletin départemental du mois de septembre 2024

Mettons le cap à Gauche aussi en Seine-Maritime

Après 7 ans de politiques ayant profondément divisé la société, creusé les inégalités, fait monter la colère et dégradé les conditions de vie d’une large majorité de nos concitoyens, Emmanuel Macron a subi en juin deux défaites électorales majeures.

Désormais, s’il préside toujours, il ne peut plus gouverner : c’est toujours ça de gagné.

Mieux encore, le nouveau Front Populaire est devenu la première force politique à l’Assemblée Nationale. Il est porteur d’un programme de rupture avec toutes les politiques qui ont abimé la société et fait mal aux gens.

Des politiques qui permettront d’en finir avec les inégalités grandissantes et d’apporter des réponses concrètes face aux crises qui se multiplient (santé, logement, pouvoir d’achat, services publics…).

Nous le soutenons avec convictions, avec détermination et avec responsabilité, conscients que l’extrême-droite a été amenée aux portes du pouvoir, par des années d’austérité pour les citoyens et nos communes et par le triste bilan et l’arrogance d’un Président resté sourd aux appels répétés de la Nation (Gilets jaunes, réforme des retraites, mouvements sociaux…).

Nous appelons solennellement la majorité des droites au Conseil départemental à tirer tous les enseignements de cette situation :

  • En rompant avec la reproduction docile en Seine-Maritime des politiques libérales macronistes rejetées par nos concitoyens.
  • En acceptant enfin de travailler sur les nombreuses propositions que nous portons depuis des années afin d’apporter des réponses nouvelles et adaptées.

gauchecombative.76@gmail.com

Pour télécharger la tribune : Tribune mois de Septembre 2024

Tribune du mois de juillet : Vacances pour tous, sans exception !

Tribune du Groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine

Bulletin départemental du mois de juillet 2024

Vacances pour tous, sans exception !

Cet été, sur tous les territoires qui composent la Seine-Maritime, de très nombreuses manifestations, animations et initiatives culturelles ou sportives sont proposés aux habitants et aux touristes, fort du dynamisme des communes, des associations et de tous les acteurs qui fabriquent du lien social. Le passage de la flamme olympique contribuera à ce vaste programme.

Mais l’été, cela devrait être aussi l’occasion pour chacune et chacun de pouvoir partir en vacances, le bénéfice humain et social d’un séjour loin de chez soi étant unanimement reconnu, au point que le droit aux vacances pour tous est inscrit dans la loi depuis plus de 20 ans.

Or, cette année encore près d’un seinomarin sur deux ne partira pas. Même disposer d’un salaire n’est pas toujours suffisant.

Malgré l’engagement fort d’associations comme le Secours Populaire, des Centres sociaux ou de communes qui proposent des actions pour faire valoir ce droit aux vacances notamment pour les familles, pour les enfants, pour les jeunes, force est de constater qu’il reste du chemin à parcourir pour faire de ce droit une réalité !

L’État comme le Département semble ne pas s’en soucier, regardant ailleurs au lieu de s’emparer des propositions qui émanent des associations ou d’élus, dont ceux de notre groupe au Conseil départemental.

Nous continuons et continuerons à les défendre, persuadés de leur utilité et convaincus qu’il n’existe aucune fatalité qui empêcherait quiconque de ne pas profiter de vacances bien méritées.

gauchecombative.76@gmail.com

Pour télécharger la tribune : Tribune mois de Juillet 2024

Tribune du mois de mai : Pour un Département plus actif face aux crises

Tribune du Groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine

Bulletin départemental du mois de mai 2024

Pour un Département plus actif face aux crises

Le Département a voté son tiède budget 2024 sans les voix des élus de la Gauche combative. Car au-delà de ses dispositifs qui structurent les politiques publiques, il lui faut aller plus loin en expérimentant des réponses nouvelles et progressistes face aux crises qui s’enchainent (logement, santé, pouvoir d’achat…).

Non pas en encourageant le retour de l’uniforme dans les collèges, mais en instaurant un revenu minimum pour les jeunes, en créant des centres de santé avec médecins salariés, en organisant un service public des métiers du lien, en recrutant les AESH pour les faire bénéficier d’un vrai statut, en rétablissant les bourses pour les collégiens, en ouvrant tous les dispositifs de solidarité aux travailleurs pauvres…

Sans oublier de donner enfin les moyens à la MDPH d’instruire les nombreuses demandes dans des délais raisonnables.

Des choses avancent, nous y contribuons. C’est le cas de la mise à disposition gratuite des protections menstruelles au collège que nous avions proposés ; Du tarif unique de restauration en regrettant que le niveau retenu ait entrainé une hausse pour une partie des familles ; De l’élargissement de l’Aide à la restauration ; Du sauvetage du Fonds de solidarité logement dont il aura fallu attendre 6 ans de baisse constante avant de réagir !

La Droite fait ainsi la démonstration qu’après une première marque de surdité à nos demandes, elle finit par les reprendre. C’est la preuve que nous avons raison d’être persévérants dans nos interventions. Nous allons les multiplier !

gauchecombative.76@gmail.com

Pour télécharger la tribune : Tribune mois de Mai 2024

Contre le plan social qui frappe les EHPAD publics du Havre (100 emplois supprimés) : nouvelle intervention de Sophie Hervé

En péril en raison d’erreurs de gestion et probablement d’erreurs stratégiques, sans compter un défaut évident de surveillance de la part de ses tutelles (Etat et Département), les EHPAD publics « Les Escales » au Havre sont visés par un plan drastique de réduction de ses effectifs (suppression de 100 postes).

Face à cette situation inacceptable, les agents sont mobilisés depuis des semaines. Lors du Conseil départemental du 22 février, Sophie Hervé, pour le groupe des élus de la Gauche combative, communiste et républicaine, avait appelé le Président du Département à s’opposer à ce plan social. Elle a renouvelé son appel, au début de la séance du Conseil départemental ce 28 mars.

Pour visionner l’intervention de Sophie HERVE : Question orale EHPAD LH vidéo  – SH

« Monsieur le Président,

L’établissement public médico-social « Les Escales » a été créé en 2016, par la volonté commune du Maire et de la Municipalité du Havre d’une part et du Centre Hospitalier du Havre d’autre part, pour fusionner les EHPAD gérés par l’hôpital et le Centre gériatrique Desaint-Jean. Un programme de reconstruction de 3 EHPAD a été décidé.

L’ensemble ainsi constitué gère 664 places et un service de soins infirmiers à domicile (SSIAD) de 44 places. C’est le plus grand EHPAD public du pays et, de l’aveu même de l’Etat, il repose sur un modèle atypique qui n’a pas d’équivalence.

Depuis la fin d’année, ce qui faisait ainsi la fierté du Maire du Havre, président du Conseil de surveillance de ces EHPAD et président du Conseil de surveillance du Centre Hospitalier du Havre, est en naufrage. L’horizon est bien sombre pour ses résidents et ses agents…

Si les comptes généraient un faible déficit jusqu’en 2020, en 2 exercices seulement, un déficit abyssal est apparu pour atteindre 7 Millions d’euros et un endettement de 13 Millions en 2023, mettant clairement en péril l’établissement.

Raison qui a conduit l’ARS et notre collectivité à le placer sous administration provisoire le 14 novembre.

Dans l’urgence, notre Conseil a débloqué en décembre une aide de 1,5 Millions sous forme d’avance remboursable et l’ARS a attribué une aide exceptionnelle de 3,5 Millions.

L’administratrice, s’appuyant sur un rapport de l’ANAP (Agence nationale pour la performance sanitaire et médico-social), a réalisé un audit et, avec les tutelles, engagée la définition d’un CPOM (Contrat Pluriannuel d’Objectifs et de Moyens) censé assurer le sauvetage puis la pérennité de l’établissement.

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Les élus de Gauche rassemblés aux côtés des travailleurs sociaux de la protection de l’enfance

A la veille du conseil départemental du jeudi 28 mars, le groupe des élus de la Gauche combative, communiste et républicaine au Département était présent par sa présidente Séverine Botte, Maryline Fournier et Joachim Moyse, aux côtés des syndicats des professionnels de l’enfance, en conférence de presse, pour soutenir leurs revendications. Des élus écologiques et socialistes au Conseil départemental, ainsi que les députés communiste Edouard Bénard et Insoumise Alma Dufour, étaient également mobilisés.

Alors que la Seine-Maritime est un département pilote dans le domaine de la protection de l’enfance, aucun signe encourageant n’est donné aux professionnels de l’enfance. A un tel point que les agents de la protection de l’enfance partagent ce qu’ils et elles vivent en pleurant.

Les moyens ne sont pas à la hauteur des besoins du territoire (par exemple, il y a entre 300 et 400 mesures de placements qui ne sont pas exécutées car il n’y a pas de place en foyer), l’épuisement est flagrant dans l’ensemble des services de la protection de l’enfance, les « équipes sont déshabillées et les enfants se retrouvent avec des professionnels qui changent tout le temps ». Et alors que nous connaissons un contexte d’inflation alimentaire inédit, où nos factures d’électricité et nos loyers deviennent insupportables, leurs métiers doivent être rémunérer à leurs justes valeurs.

Cette situation chaotique n’est pas le fruit d’un hasard mais est le résultat d’un retard accumulé depuis des années. En ne voulant pas adapter les moyens nécessaires aux besoins à couvrir, le groupe des élus communistes a pourtant alerté régulièrement, d’autres groupes de l’opposition de Gauche également, sur ce constat, Etat et Département ont créé du mal-être, du découragement et des situations inacceptables s’agissant de l’accompagnement d’enfants vulnérables. Désormais le Département doit débloquer des millions de crédits supplémentaires et encore c’est loin d’être suffisant !

Il faut lâcher cette politique antisociale et d’austérité budgétaire et aller vers une meilleure reconnaissance des métiers du lien, la droite départementale doit répondre de ses responsabilités. Il y a urgence.

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