Archive dans 31 mai 2016

A LA CIM : LES ELUS COMMUNISTES DENONCENT UN COUP DE FORCE DU GOUVERNEMENT AU MEPRIS DE LA SECURITE !

CIM

COMMUNIQUE DES ELUS COMMUNISTES DE LA REGION HAVRAISE

Alors que le gouvernement s’entête à vouloir imposer par la force, et contre la volonté de l’immense majorité des Français, un projet de loi nocif pour le monde du travail et les demandeurs d’emploi, une partie du patronat semble jouer un jeu très dangereux en tentant coûte que coûte de maintenir des productions à haut risque en contournant le droit de grève.

Probablement encouragée par les injonctions de Matignon et par des mesures insensées du point de la vue de la sécurité, comme l’autorisation donnée par arrêté ministériel aux transporteurs de carburant de faire rouler leurs chauffeurs sur nos routes en dérogeant au temps de travail journalier légal, la direction de certaines entreprises semble prête à tout.

Pourtant, la sécurité publique et celle des populations riveraines des industries à risques sont censées être garanties par ce même gouvernement grâce à de nombreux protocoles et procédures drastiques considérablement renforcées depuis le drame d’AZF à Toulouse.

Dans certaines entreprises classées SEVESO II, comme à la CIM, quelques cadres volontaires sont enfermés nuits et jours dans l’enceinte du complexe depuis plus de six jours. Des salariés non formés et non habilités tiennent des postes de production ou de contrôle pour remplacer leurs titulaires en grève. Ce qui semble primer c’est le maintien des productions, à tout prix. Par ailleurs, les effectifs nécessaires listés dans les autorisations d’exploiter délivrées par l’Etat, en lien avec les notices d’hygiène et de sécurité, sont ignorées. Enfin, les CHSCT ne sont pas consultés.

Jusqu’où sont-ils prêts à aller avec la complicité du gouvernement pour contourner l’exercice constitutionnel du droit de grève ?

Nous avons interpellé les services de l’État sur cette question. Nous attendons qu’il fasse le nécessaire pour que soit garantie la sécurité des populations.

L’annulation par l’Etat de la réunion de la Commission de Suivi de Sites industriels sensibles où siègent sous la présidence du Sous-Préfet les représentants du personnel et les employeurs des entreprises concernées nous laisse pour le moins perplexe. Car c’est justement lorsque des soupçons pèsent sur la sécurité, que les travaux de cette commission sont rendus encore plus nécessaires.

Non content de bloquer le pays et son économie par son obstination, le gouvernement ne peut décemment pas prendre aussi le risque d’un accident majeur dont il serait responsable avec le grand patronat.

Le Havre, le 31 mai 2016

Jean-Paul LECOQ, Maire de Gonfreville-l’Orcher, Conseiller Départemental, Vice-Président de la CODAH en charge des risques majeurs

Christine MOREL, Maire d’Harfleur, Vice-Présidente de la CODAH

Sophie HERVE, Conseillère Départementale

Nathalie NAIL, Conseillère municipale du Havre, Conseillère communautaire

Jean-Louis JEGADEN, Conseiller municipal du Havre, Président du groupe Le Havre à Cœur

Aurélien LECACHEUR, Conseiller municipal de Montivilliers

Télécharger le communiqué : Communiqué sécurité industrielle

L’Etat reporte la table ronde consacrée à la cimenterie Lafarge, il n’a pourtant plus de temps à perdre !

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Venant d’apprendre le report par l’Etat de la table ronde consacrée à la cimenterie Lafarge prévue lundi au Havre, Jean-Paul Lecoq, Maire de Gonfreville l’Orcher et Conseiller départemental de Seine-Maritime qui est à l’origine de la demande, a souhaité réagir par communiqué.

L’ajournement de cette réunion importante, attendue depuis 3 mois et demi, pour permettre de sauver ce site industriel et tous ses emplois pose en effet de nombreuses questions…

« Il aura fallu 3 mois et demi au gouvernement pour entendre l’appel que j’avais lancé, avec Thierry Foucaud, Vice-Président du Sénat, et Gilbert Le Maître, Maire de Saint-Vigor-d’Ymonville, dès l’annonce du plan de restructuration du groupe Lafarge/Holcim début février, pour convoquer une table ronde sur l’avenir de la cimenterie Lafarge et de ses salariés. Elle devait se tenir lundi 30 mai en Sous-Préfecture du Havre.

Je viens d’apprendre par Monsieur le Sous-Préfet du Havre qu’elle était reportée à une date ultérieure, non fixée à ce jour, « en raison de la situation actuelle ».

Craignant d’être passé à côté d’un élément nouveau dans cette affaire plus que sensible, je me suis aussitôt mis en quête d’information complémentaire. La multinationale Lafarge/Holcim avait peut-être enfin entendu la pertinence de nos multiples arguments en retirant son plan de casse ? Ou bien, les salariés avaient sans doute décroché des avancées significatives dans leurs négociations avec leur direction pour lui faire annuler son Plan social ?…

Malheureusement rien de tout cela dans l’actualité. Au contraire encore un nouvel élément plaidant en faveur de l’urgence à agir des pouvoirs publics, avec ce reportage de l’émission Cash-Investigation diffusé sur France 2 mardi et qui démontre les pratiques d’un groupe qui semble prêt à tout pour augmenter la rente de ses actionnaires et ses marges bénéficiaires pourtant déjà plus que confortables pour le numéro 1 mondial dans ce secteur d’activités. Ces révélations pouvaient motiver un avancement de date pour la table ronde, mais aucunement son report…

Non, « la situation » invoquée par les services de l’État est celle du mouvement social contre la loi Travail qui, de mon point de vue, ne justifie en rien l’ajournement de cette importante réunion consacrée à l’avenir des 111 salariés de l’usine de Saint-Vigor-d’Ymonville, de leurs familles et des 750 emplois indirects liés à ce site de production locale qu’il convient de préserver par tous les moyens.

 Je ne veux pas y voir de la part de l’État un quelconque refus de siéger actuellement aux côtés de délégués syndicaux de la CGT, quoique l’annulation dans le même temps et pour les mêmes raisons de la réunion de la Commission de Suivi des Sites industriels sensibles, placée sous l’autorité du Sous-Préfet, me laisse perplexe…

Je ne veux pas y voir non plus, malgré les positions très tendancieuses prises par le ministre Macron dans cette affaire Lafarge, une quelconque volonté du gouvernement de maintenir sa tête dans le sable ou dans le sac de ciment (le résultat revenant au même) en gagnant ainsi du temps sous prétexte de l’actualité pour permettre à la direction du groupe Lafarge/Holcim de mettre à exécution ses funestes desseins…

Je ne veux pas y voir enfin un quelconque parti pris supplémentaire du gouvernement en faveur du Medef, à l’heure où il est si prolixe pour condamner avec autant de ferveur patronale le mouvement contre la loi Travail, sans pourtant dire mot contre les patrons voyous qui saccagent nos emplois et dévitalisent notre tissu industriel.

Pour ne pas voir tout ceci dans ce report, il me suffirait de prendre connaissance rapidement de la nouvelle date arrêtée par l’État pour tenir cette table ronde. Je l’attends, de pied ferme ! »

Télécharger le communiqué : Communiqué report table ronde

Contournement Est de Rouen, le groupe communiste au Département obtient un débat lors du prochain Conseil Départemental

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A la demande d’Hubert Wulfranc, Maire de Saint-Etienne-du-Rouvray et Président du groupe communiste et républicain, Front de Gauche au Département, le Président Martin vient d’accepter d’organiser un débat sur le projet de contournement Est de Rouen lors du prochain Conseil Départemental du lundi 20 juin. Comme suggéré dans le courrier de demande, le Président du Département a également sollicité la présence de Madame la Préfète de Région à cette occasion.

Le courrier d’Hubert Wulfranc : Let HW contournement Est

La réponse du Président Martin : Réponse débat contournement Est

 

Le chantage des dirigeants du groupe Total : Total’ment irresponsable !! Réaction de Jean-Paul Lecoq

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Pour faire suite aux votes de la grève dans les raffineries TOTAL et en réaction aux propos tenus par les dirigeants de ce groupe face au mouvement social, Jean-Paul Lecoq, Maire de Gonfreville l’Orcher – site de la raffinerie de Normandie – et Conseiller Départemental de la Seine-Maritime, a souhaité réagir à travers le communiqué ci-dessous et ci-joint :

Face à la grève,

le chantage à la Nation des dirigeants multimillionnaires du groupe TOTAL est

 TOTAL’MENT… IRRESPONSABLE !!

Le Gouvernement s’enlise dans son propre entêtement à vouloir imposer par la force un projet de loi nocif au monde du travail, très largement rejeté tant par l’immense majorité des salariés que par l’opinion publique.

Sa stratégie visant à diviser les Français pour se refaire une santé conduit le pays au mieux dans une impasse, au pire dans le mur.

Ne lui en déplaise, le droit de grève est aussi constitutionnel que son 49.3, mais à la différence qu’une grève est votée démocratiquement par la majorité des salariés d’une même entreprise.

Le Ministre Macron prétend vouloir contourner les syndicats en permettant aux salariés de s’exprimer directement dans leur entreprise, il est servi : les salariés de chaque site TOTAL sont en phase avec leur organisation syndicale majoritaire… Ils ont voté la grève !

Dans ces conditions, chercher à nuire au droit de grève ou le condamner comme ne cessent de le chanter les locataires précaires du pouvoir, comme d’ailleurs ceux qui s’y verraient bien demain et leurs commanditaires du Médef, est totalement anti-démocratique. Cela en dit long au passage sur leur conception de la Nation et de la démocratie !

La démocratie c’est souvent d’ailleurs ceux qui en parlent le plus qui la respectent le moins…

C’est dans ce contexte d’un gouvernement incendiaire et d’une Droite pyromane que les dirigeants du groupe TOTAL, en réaction à la grève, y vont de leur chantage en menaçant de s’en prendre aux investissements programmés dans les raffineries françaises.

Ce groupe, je le connais bien. Il doit tout au pays et à ses travailleurs. Il doit tout à l’Etat. Les menaces antinationales de ses dirigeants ne vont que révéler la vraie couleur de leur drapeau : celui de l’argent sans foi ni loi. Déjà, par ses délocalisations, ses recours massifs à l’intérim pour progressivement diminuer son apport à l’emploi dans notre pays, comme par ses stratégies de productivité, le groupe s’illustre depuis des années par un retrait larvé de son implantation en France. Les déclarations du jour sont également à lire sous cet éclairage.

Et, dans l’hypothèse où le groupe viendrait à mettre ses pitoyables menaces à exécution, l’Etat devra le nationaliser. Il pourra ainsi se rembourser les millions d’argent public versés au groupe à travers notamment le CICE, sans aucun effet sur l’emploi. Il pourra aussi aisément contribuer à la réduction des déficits publics en utilisant pour l’intérêt général et l’intérêt national, les bénéfices considérables qui servent aujourd’hui à gaver les actionnaires du groupe.

Dans l’attente, je réaffirme mon soutien aux salariés grévistes du groupe TOTAL qui ne se battent pas simplement pour eux mais pour l’emploi dans notre pays. Leurs organisations syndicales sont bien plus légitimes que ceux qui commandent les charges de CRS contre les salariés en lutte !!

Télécharger le communiqué : Communiqué Total

Usines des éoliennes offshore au Havre : Jean-Paul Lecoq et Jean-Louis Jégaden interpellent le 1er Ministre

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Afin de demander clairement au gouvernement de garantir la construction des éoliennes offshore au Havre conformément aux engagements pris précédemment, et ce malgré la probable absorption de l’espagnol Gamesa par l’allemand Siemens, Jean-Paul Lecoq, Conseiller départemental et Maire de Gonfreville l’Orcher et Jean-Louis Jégaden, Conseiller municipal du Havre et Président du Groupe Le Havre à Coeur, viennent d’interpeller le 1er Ministre par courrier.

Il s’agit de faire en sorte que le gouvernement se positionne clairement dans cette partie de Monopoly en agissant pour garantir l’intérêt national dans cette affaire.

Télécharger le courrier : Let commune 1er Ministre éolien offshore

Péage du Pont de Normandie : la Chambre de Commerce s’en prend aux abonnés !

Manif  Pont Normandie

Les usagers se mobilisent pour obtenir le maintien des abonnements ALLEGRO.

Opposé au péage des ponts comme des bacs de la Seine, tout simplement parce que le fleuve ne doit plus être un frein, une contrainte ou une frontière mais bien un trait d’union facilitant les échanges, Jean-Paul Lecoq est cette fois encore monté au créneau contre la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Estuaire, gestionnaire du Pont de Normandie.

En cause, la décision prise dans la plus grande opacité par la Chambre de supprimer l’abonnement ALLEGRO, formule utilisée par de nombreux usagers résidant sur une rive et travaillant sur l’autre.

La formule de substitution proposée par la Chambre de Commerce et d’Industrie repose sur un péage systématique de chaque passage. Elle est donc de nature à réduire à leur strict minimum indispensable le nombre de passages des abonnés, tout en entrainant pour eux un surcout pouvant aller jusqu’à 100 euros mensuels selon la fréquence des passages hebdomadaires.

Dans un courrier au Président de la Chambre, Jean-Paul Lecoq demande l’annulation de cette décision regrettable qui, de plus, risque d’entrainer la suppression d’emplois de guichetiers.

« Ne doutant pas un instant que les dirigeants de la Chambre soient parfaitement au fait de la réalité sociale et financière dans laquelle se trouve l’immense majorité des salariés, vous comprendrez bien qu’une telle mesure entraine un préjudice totalement inacceptable et en tout état de cause disproportionné pour les usagers du pont ».

Il rappelle également que « le fleuve a fait et assure la richesse de nos départements et de ses acteurs économiques que vous représentez. Ils se doivent, en retour, d’assurer aux populations et territoires des deux rives de bonnes conditions de sa traversée ».

Par ailleurs, Jean-Paul Lecoq a sollicité l’intervention de la Région, du Département, de la CODAH et de la Communauté de Communes Caux Estuaire pour agir ensemble aux côtés des usagers afin qu’ils obtiennent la seule décision qui s’impose : le retour des abonnements ALLEGRO.

Pour télécharger :

 

Cimenterie Lafarge : en réponse à Macron, pour en finir avec le bal des hypocrites !

Lafarge

A l’occasion d’une question orale à l’Assemblée Nationale le 3 mai dernier, le gouvernement a semblé découvrir la gravité de la situation posée par le plan de reconversion de la cimenterie de Saint-Vigor-d’Ymonville, décrété par le groupe Lafarge/Holcim… exactement 3 mois après son annonce publique et ce malgré les multiples démarches et mobilisations ayant émaillé ces 12 dernières semaines.

Un plan de reconversion qui concerne 111 emplois comme rappelé par le Ministre, mais qui impacte également 700 à 750 emplois indirects liés à cette usine de production, selon la propre estimation fournie en 2013 par la direction du groupe Lafarge que Jean-Paul Lecoq, Maire de Gonfreville l’Orcher et Conseiller Départemental a dévoilé récemment.

Pourtant, dans sa réponse, le Ministre de l’Economie Emmanuel Macron, tout comme la Préfète de Région dans son courrier au Sénateur Foucaud, ne font que justifier les arguments développés par la multinationale, ainsi que sa fusion avec le suisse Holcim, pourtant à l’origine de ce plan de casse industriel frappant l’axe Seine.

Défendant l’idée que « l’ambition industrielle ne passe pas partout par le maintien des emplois, mais par le développement d’activités nouvelles » le Ministre acquiesce explicitement à la reconversion du site de Saint-Vigor-d’Ymonville, en oubliant toutefois de préciser que « l’activité nouvelle » en question consiste à broyer du clinker importé d’ailleurs, plutôt que d’en fabriquer comme actuellement depuis la carrière du site dont les réserves sont estimées à 100 ans.

Pire encore pour celui qui devrait être le premier défenseur de l’industrie française et de ses emplois, le Ministre Macron rappelle que son action « pour la réindustrialisation du pays se traduit d’abord par la politique de compétitivité ». Appliquer à la situation chez Lafarge, cela consiste à délocaliser des productions et à supprimer des sites et des emplois en France pour accroitre la compétitivité du groupe.

  • Depuis quand fermer des usines et les transformer en simple station service concoure à réindustrialiser le pays ?
  • Depuis quand encourager des destructions d’unités de production rentables pour favoriser des productions délocalisées concoure à réindustrialiser le pays ?
  • Depuis quand couvrir des plans de restructurations et des suppressions d’emploi pour satisfaire des logiques boursières de rentabilité accrue, qui plus est au sein d’un groupe qui est déjà leader mondial dans sa partie, concoure à réindustrialiser le pays ?

Dans un communiqué publié aujourd’hui alors même que plusieurs sites Lafarge sont bloqués en France par les salariés pour s’opposer au plan national de leur direction, Jean-Paul Lecoq rappelle que dans cette affaire Lafarge, l’Etat et la Région disposent réellement des leviers pour mettre en échec ces logiques et véritablement conforter l’industrie Française à travers notamment :

  • Le montant des loyers et ses mécanismes qui défavorisent le transport fluvial, fixés par le Grand Port Maritime du Havre.
  • L’exploitation de la carrière de St-Vigor-d’Ymonville destinée dans le plan de reconversion à devenir un simple site de stockage.
  • Le recours au four de la cimenterie pour la valorisation en énergie des matériaux impropres de tout le bassin industriel du Havre.
  • Les futurs chantiers d’intérêt national de l’éolien en mer qui ont besoin du ciment local.
  • Les conséquences des engagements de la France lors de la COP21 en matière de réduction du bilan carbone, la direction de Lafarge estimant que la fermeture de son site de production au profit de l’installation d’une filière d’importation de clinker fabriqué ailleurs, entre dans ce cadre et permet d’obtenir une réduction de sa facture carbone.
  • Les versements de CICE au groupe Lafarge.

Jean-Paul Lecoq appelle le gouvernement « à cesser de se défausser en cherchant à nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Les subtilités de la communication ont atteint leurs limites ! » avant de rappeler que « La politique ne vaut que si elle est en capacité d’influer sur le cours des choses. Il n’est plus l’heure de demander poliment au groupe Lafarge, en levant le doigt, de bien vouloir revenir sur son plan et se contenter de ses marges actuelles suffisamment confortables. Je l’ai déjà fait, sa réponse écrite rendue publique fut parfaitement claire quant à sa détermination.

L’heure est à la mobilisation et à la construction de la seule solution capable de sauvegarder notre cimenterie, ses savoir-faire, sa production locale et ses emplois. Cette solution : c’est une intervention directe de l’Etat et de la Région. L’intérêt national est en jeu. Assez de tergiversation. De l’action !

C’est ce que j’exprimerai le 30 mai lors de la table ronde que j’ai obtenu avec mes collègues Gilbert Le Maitre, Maire de Saint-Vigor-d’Ymonville et Thierry Foucaud, Vice-Président du Sénat, avec le soutien unanime de la CODAH et de la communauté de communes CAUX ESTUAIRE.

Nous nous y rendrons pour assurer l’avenir du site de production et non pour négocier les conséquences d’un plan social aberrant sur le plan économique, sur le plan humain et sur le plan environnemental et sociétal. »

Télécharger le communiqué de Jean-Paul Lecoq : Communiqué de presse annonces gvt