Les élus communistes contre la fermeture de la crèche départementale

(Illustration de la pétition lancée par les usagers de la crèche)

Profitant de la présentation du rapport d’activités des services départementaux lors du Conseil départemental du 5 octobre, et après avoir salué l’action quotidienne de ces services, Christine de Cintre, pour le groupe socialiste, et Séverine Botte, pour le groupe communiste, ont souhaité réagir à l’annonce de la décision de fermer la crèche départementale lors de la prochaine rentrée.

Séverine Botte a fait part au Président du Conseil « de l’incompréhension »des élus communistes. A moins qu’ils aient « tout compris »… :

« J’ai lu, puis relu avec attention la déclaration adressée hier pour expliquer les raisons qui conduisent à cette fermeture.Et plus je la lis, moins je comprends.Ce que j’ai compris c’est que la nature des travaux qui doivent être engagés dans ces bâtiments d’Etat, en fin d’année 2019, n’est pas compatible avec la présence d’enfants et d’agents en charge de leur accueil.J’ai compris également, sans en connaître les raisons, que l’Etat souhaite, à l’issue, reprendre la jouissance du bâtiment. J’espère que c’est pour y installer des services publics…Et j’ai compris que la recherche d’un autre lieu d’accueil avait pour l’heure était vaine ».

Puis de poursuivre : « Mais ce que je ne comprends pas, c’est cet empressement à baisser les bras. Il vous reste encore des mois pour poursuivre les investigations. 500 mètres carrés de locaux à trouver, cela ne semble pas être insurmontable ? ».

Et de conclure :« Ou alors, j’ai tout compris. Vous utilisez l’opportunité des travaux pour fermer ce service et redéployer les agents.Ce qui sous-entend une diminution des effectifs de la collectivité, imaginant aisément que dans votre esprit, les agents de la crèche réaffectés dans d’autres services ne viendront pas en sureffectif mais en remplacement de départs. Une telle orientation mériterait d’être précisée plutôt que de la laisser supposer par la fatalité. D’autant que vous semblez opter vers un dispositif généralisé à tous les agents de la collectivité de pouvoir bénéficier d’une aide financière en vue de soutenir un mode de garde payant. Mesure qui a priori serait un progrès, enfin pour ceux qui ne bénéficient aujourd’hui de la crèche départementale, si toutefois elle ne se heurtait pas aux difficultés bien connues de pouvoir trouver des places en crèche… ».

En conclusion, Séverine Botte a interrogé : « Pourquoi ne pas faire bénéficier tous les agents de ce nouveau dispositif tout en gardant la crèche ?L’accueil des enfants en crèche est annoncé comme une priorité par le Président de la République avec 30.000 places à créer, et vous, vous décidez de fermer une crèche existante ».

Pour la majorité, Nathalie Lecordier a reconnu « la pénurie de places en crèche », avant d’ajouter que « compte tenu des travaux à réaliser, nous ne pouvons pas garder l’utilisation des locaux. Nous avons cherché et nous n’avons pas trouvé d’autres locaux à proximité. L’équité nous commande également de pouvoir faire bénéficier tous les agents de la collectivité d’un soutien pour le mode de garde choisi, et pas seulement ceux qui peuvent actuellement utiliser le service de la crèche départementale ».

Dans le débat qui s’est enchainé, un clivage s’est affirmé entre la majorité et les oppositions concernant le soutien à apporter aux modes de garde pour les agents de la collectivité. La majorité souhaitant apporter un soutien indifféremment du mode de garde trouvé (individuel comme collectif) par chaque agent, alors que les oppositions communistes et socialistes ont rappelé la nécessité de garantir des places en structures collectives.

Sur un autre sujet, celui du désengagement du Département de la gestion des centres d’information et de dépistage des infections sexuellement transmissibles, Stéphane Barré a utilisé ce rapport pour relayer la stupéfaction des médecins départementaux qui œuvrent dans ces centres, lorsqu’ils ont entendu hier qu’une vice-présidente mettait en cause leur compétence sur une télévision régionale.

Le Président a répondu qu’il s’agissait d’un « quiproquo, la notion de compétence avancée étant celle du Département et non celle des agents en activité dans ces centres ».

Pour télécharger l’intervention de Séverine Botte : 0.00 – Crèche dépt – Interv SBO

Création d’une aide à la restauration du patrimoine en faveur des propriétaires privés… Les contradictions de la majorité…

Lors du Conseil départemental du 5 octobre, la vice-présidente Charlotte Masset a proposé la création d’un dispositif d’aide destinée aux propriétaires privés d’édifices protégés au titre des monuments historiques, et d’adopter un protocole d’accord à intervenir entre le Département de la Seine-Maritime et les 4 autres départements normands en lien avec les services de l’État. Ce document vise à mettre en place pour une durée de 5 ans un fonds incitatif et partenarial pour la restauration des monuments historiques situés dans les communes de moins de 2.000 habitants.

Pour Stéphane Barré, ce dispositif est un signe que « l’Etat est encore une fois défaillant… Les appels aux mécènes privés, annoncés comme la panacée, ne suffisent plus. Alors on organise des tombolas par la Française des Jeux et on accentue la pression sur les communes et départements pour qu’ils s’impliquent ».

Prenant la majorité à ses propres mots utilisés pour justifier son désengagement de plusieurs autres dispositifs sous couvert de vouloir se concentrer sur les missions obligatoires du Département, Stéphane Barré s’est dit « étonné de la proposition présentée dans un contexte de baisse de crédits accordés à nos collèges, de désengagement des centres de dépistage, de fermeture de la crèche départementale et d’absence de moyens suffisants affectés aux solidarités ».

Pour le groupe socialiste, Pierre Carel a ironisé sur les priorités de la majorité départementale et sur ses incohérences…

Cette délibération a été adoptée par la majorité, le groupe des indépendants et le nouveau groupe constitué autour des questions de l’écologie.

Quel avenir pour les centres gratuits de dépistage et de diagnostic des Infections Sexuellement Transmissibles ?

Au milieu de l’été, nous avons appris que notre collectivité se désengageait de la gestion des centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic des infections sexuellement transmissibles, les CeGIDD, présents sur notre département, en dénonçant la convention passée avec l’Agence Régionale de Santé (ARS).

Avant le 1er janvier, l’ARS devra donc trouver un nouveau gestionnaire pour maintenir l’ouverture de ces 6 centres répartis sur nos différents bassins de vie.

Nous ne comprenons pas cette décision ni la manière dont elle a été prise. Lors du débat en Conseil départemental du 21 juin sur le schéma régional de santé, en présence de la Directrice de l’ARS, cette orientation n’a nullement été abordée. Et puisque l’ARS annonce qu’elle se met en quête d’un nouveau gestionnaire, il faut considérer qu’elle a été mise devant le fait accompli.

Pourtant, à l’heure où les infections progressent, le maintien de ces centres gratuits de dépistage est d’une impérieuse nécessité.

Nous demandons des comptes au Président du Département et avons saisi l’ARS pour obtenir la garantie du maintien de ces centres, de l’ensemble de ces centres.

Télécharger notre courrier au Président : 2018 09 07 – Let Pdt maintien des CeGidd

Télécharger le courrier de réponse reçu : 2018 10 04 – Rép Pdt

Communiqué du Président du Département : 

Article de Gayviking du 28 juillet : 

http://www.gayviking.com/seine-maritime-le-departement-se-desengage-des-centres-de-depistages-anonymes-et-gratuits/

Article de Paris-Normandie du 30 juillet :

https://www.paris-normandie.fr/actualites/societe/sante/enquete-sur-les-infections-sexuellement-transmissibles–les-jeunes-en-premiere-ligne-EA13468408

Article de Actu 76 du 27 juillet :

https://actu.fr/societe/sida-mst-non-centres-depistage-seine-maritime-ne-vont-pas-fermer-2019_17963889.html

Article de Paris-Normandie du 25 juillet :

https://www.paris-normandie.fr/actualites/societe/le-havre–les-centres-gratuits-et-anonymes-de-depistages-du-sida-et-ist-menaces-de-fermeture-BC13447170

 

 

 

70 % des enfants privés d’une Auxiliaire de vie scolaire ont été laissés sur le bord du chemin de l’école le jour de la rentrée

La veille de la rentrée, la Secrétaire d’Etat en charge du handicap prenait l’engagement « qu’aucun enfant ne sera laissé sur le bord du chemin »… Quelques jours plus tard, plus d’un enfant sur deux nécessitant en raison de son handicap une auxiliaire de vie scolaire en était dépourvu. Ils ont du rentrer… chez eux. C’est humainement inacceptable.

Le groupe communiste du Front de Gauche au Département s’est fait le porte parole des enfants et des parents ainsi laissés sur le bord du chemin de l’école en interpellant la Directrice départementale de l’Education Nationale à travers un courrier signé Séverine Botte.

Pour télécharger le courrier : 2018 09 10 – Let DASEN postes AVS

 

 

 

Tribune du mois de septembre : La route c’est bien, mais le fer c’est mieux !

 

Tribune du Groupe Communiste et Républicain, Front de Gauche de Seine-Maritime

Bulletin départemental du mois de septembre 2018

 

LA ROUTE C’EST BIEN, MAIS LE FER C’EST MIEUX !

Petit exercice en clin d’œil à cette rentrée, avec tous nos encouragements à nos collégiennes et collégiens…

Quand un pays voit sa population augmenter, comme ses véhicules individuels, et qu’il doit limiter l’émission de gaz polluants, tout en facilitant les déplacements de ses administrés, que doit-il faire ?

  • Limiter le nombre des naissances
  • Construire des routes partout
  • Interdire les automobiles
  • Favoriser les déplacements ferroviaires

A l’évidence, chacun trouvera facilement la bonne réponse. A l’exception notoire du Gouvernement qui se refuse de choisir et de miser sur le fer.

Ignorant les préconisations des cheminots, des associations d’usagers comme des élus locaux, il ne jauge le train qu’à travers ses retombées potentielles en terme de profits pour une petite minorité d’actionnaires, au lieu de le considérer comme une réponse à apporter à toutes et à tous.

Sa « réforme » à peine votée, de grandes gares sont privatisées comme au Monopoly. De plus petites vont fermer. Les lignes jugées non rentables sont amenées à disparaître. Les tarifs appelés à flamber. La Région lui emboite le pas et envisage des suppressions d’arrêts sur la ligne Le Havre / Paris.

Entre l’intérêt général et celui de quelques uns, ils ont choisi. Face à cette logique sociétalement destructrice, il appartient aux citoyens d’imposer la société dans laquelle ils veulent vivre demain.

Pour télécharger la tribune du groupe : Tribune 2018 09

 

Financement équitable du Fonds de Solidarité Logement : la proposition du groupe communiste est rejetée

Lors du Conseil départemental du 11 décembre 2017 portant sur la modification du règlement du Fonds de Solidarité Logement en Seine-Maritime, le groupe communiste du Front de Gauche a proposé, par la voix de Séverine Botte, l’instauration d’un dispositif de bonus-malus sur les subventions départementales allouées aux communes, en fonction de leur accord ou de leur refus de contribuer au financement de ce dispositif solidaire important et utile.

La loi prévoit en effet que « Toute personne ou famille éprouvant des difficultés particulières, en raison notamment de l’inadaptation de ses ressources ou de ses conditions d’existence, a droit à une aide de la collectivité pour accéder à un logement décent et indépendant ou s’y maintenir et pour y disposer de la fourniture d’eau, d’énergie et de services téléphoniques ».

C’est l’objet du Fonds de Solidarité Logement attribué à toute famille répondant aux critères du dispositif, quelle que soit sa commune de résidence. Et pourtant, la moitié seulement des maires de Seine-Maritime accepte de participer au financement de ce fonds de solidarité, l’autre moitié s’y refuse.

Depuis des années tous les groupes politiques du Conseil départemental déplore cette situation mais rien ne change. La proposition de bonus-malus du groupe communiste du Front de Gauche vise ainsi à encourager les maires à contribuer à ce fonds, tout en expliquant à ceux qui refusent de faire jouer la solidarité que celle du Département à leurs finances s’en trouverait affectée.

Une proposition d’équité qui avait reçu un certain écho favorable le 11 décembre mais qui vient d’être rejeté par la majorité départementale qui préfère « promouvoir le FSL ».

Le courrier de notification du refus : 2018 06 27 – Let rép bonus malus FSL

Autres éléments relatifs au FSL à partir du lien :

Modification du Fonds de Solidarité Logement : les élus du Front de Gauche votent contre… Le compte n’y est pas

 

Sophie Hervé et Alban Bruneau soutiennent « les perchés » de Janet

 

Retour sur les soutiens apportés par les élus communistes de l’agglomération havraise, et notamment les Conseillers départementaux Sophie Hervé et Alban Bruneau, aux agents du centre hospitalier Pierre Janet, en grève pour obtenir le droit de travailler décemment !

11 juillet : Message d’Alban Bruneau :

« La lutte a payé, bravo aux perchés pour leur combat exemplaire au nom de la dignité humaine. Il est urgent de mettre un terme aux politiques d’austérité qui tuent les services essentiels à la population. »

5 juillet : Conseil de la CODAH ce soir.

L’occasion, pour Alban Bruneau, Conseiller départemental et conseiller communautaire, de soutenir à travers un vœu les agents « perchés » de Pierre Janet et de réclamer un plan d’urgence pour la psychiatrie mais aussi pour la pédopsychiatrie. Car depuis la fermeture de l’antenne Charcot du Centre Médico Psychologique (CMP) à Gonfreville l’Orcher, les familles ont de plus en plus de difficultés à obtenir un suivi pour leurs enfants. Désormais ce sont les antennes de Caucriauville et de Montivilliers du CMP qui sont appelées à fermer. Et pourtant les besoins sont la ! Ce rationnement comptable de notre système de santé n’est plus acceptable !

3 juillet : Intervention d’Alban Bruneau à l’occasion de l’Assemblée Générale des personnels de l’hôpital Janet.Credit Video: Morgan C.

https://www.facebook.com/mesphotosavecmonnikond3100/videos/1877363282319801/

Pour télécharger le communiqué de sortie de conflit, cliquer sur la vignette ci dessous :

 

Collège Paul-Eluard, travaux de sécurité et accueil d’élèves malvoyants, Séverine Botte intervient

Suite à plusieurs interpellations du Conseil d’administration du collège Paul-Eluard de Saint-Etienne-du-Rouvray auprès du Département, restées sans réponse, sur différents aspects liés au fonctionnement, et notamment aux questions de sécurité et d’accessibilité de l’établissement, Séverine Botte vient de saisir Nicolas Bertrand, Vice-Président en charge de l’Education au sein du Conseil départemental.

Et il y a urgence pour que des solutions soient apportées avant la prochaine rentrée et notamment pour que des élèves malvoyants puissent être accueillis dans de bonnes conditions. 

Pour télécharger le courrier : 2018 07 06 – Let SB collège P. Eluard

 

 

 

 

Tribune du mois de juillet : Notre Etat, nos régions et nos départements ne sont pas des entreprises

Tribune du Groupe Communiste et Républicain, Front de Gauche de Seine-Maritime

Bulletin départemental du mois de juillet 2018

NOTRE ETAT, NOS REGIONS, NOS DEPARTEMENTS NE SONT PAS DES ENTREPRISES

En France dans le prétendu « nouveau monde », deux tiers des bénéfices produits avec le concours irremplaçable des salariés vont directement dans la poche des actionnaires. Cette captation atteint désormais un niveau record. Il en reste un tiers seulement pour les salaires, les conditions de travail, les investissements, l’innovation…

L’argent qu’il manque pour sauver l’hôpital, renforcer les moyens des EHPAD, permettre à nos enfants d’accéder à des études supérieures ou encore pour augmenter le pouvoir d’achat des ménages se trouve dans ces poches là. Comme dans la lutte contre l’évasion fiscale, le rétablissement de l’impôt sur les fortunes, la fin des cadeaux fiscaux aux multinationales…

En misant tout sur les logiques de l’argent au détriment des gens, le modèle économique du Macronisme est nocif pour l’emploi, la société et l’environnement.

Dans ces conditions, ceux qui prétendent administrer l’Etat ou un Département comme l’on gère une entreprise, concourent à fragiliser toujours plus la société, à la précariser, à la détourner de l’intérêt général.

Plus que jamais nos services publics doivent au contraire être dotés des moyens nécessaires pour répondre aux enjeux de la société. Leur action bénéfique ne se mesure pas à coup de ratios d’endettement ou de rentabilité. Elle se juge en termes d’utilité, d’accessibilité, de solidarité et de réponses concrètes apportées au quotidien à nos concitoyens.

Pour télécharger la tribune : Tribune 2018 07

Conseil départemental du 21 juin, les élus communistes du Front de Gauche en relai et soutien des mobilisations

Séance particulièrement chargée pour ce Conseil départemental du 21 juin au cours duquel les élus du groupe communiste du Front de Gauche ont porté, à maintes reprises dans l’hémicycle les revendications légitimes : des personnels des CIO, de ceux de l’hôpital (notamment en psychiatrie, pédopsychiatrie et aux urgences) et des EHPAD ; des associations de personnes handicapées vent debout contre le projet de loi ELAN sur le logement ; celles en charge de l’aide à domicile ou encore des agents des services départementaux des solidarités qui se trouvent en première ligne des urgences sociales, avec des moyens notoirement insuffisants pour répondre aux besoins des seinomarins.

Et cela tombait bien puisque ce Conseil a permis de prendre connaissance et de débattre avec la Directrice de l’Agence Régionale de Santé, du Projet Régional Santé concocté par les services des l’Etat. Les élus du groupe, estimant qu’il ne répondait pas aux enjeux posés par la crise sanitaire dans lequel le département est plongé, l’ont rejeté, en appelant leurs collègues à faire de même. Un appel qui a été entendu par tous les autres groupes, à l’exception de celui des droites.

Même appel et même résultat pour leur refus de la contractualisation financière imposée par l’Etat au Département afin d’encadrer ses dépenses de fonctionnement.

Une séance qui avait commencé par une intervention ferme du Président du Conseil départemental sur l’adoption, suite au tollé provoqué dans la semaine par les propos discriminatoires de la directrice de la collectivité en charge de ce secteur.

Il fut aussi question du logement et des finances au cours de ce Conseil, la majorité se trouvant contrainte, 6 mois après l’adoption d’un budget fortement critiqué à l’époque pour la baisse de la plupart des dépenses sociales sous couvert d’une embellie de l’emploi, de réinjecter plus de 10 millions d’euros sur les crédits en faveur des solidarités, et 8 de plus pour la prise en charge des mineurs non accompagnés. Ce qui fit dire à Stéphane Barré qu’il « ne fallait pas faire confiance aussi aveuglément à Macron ! Nous vous l’avions bien dit, il ne prête qu’aux riches ! ».

Enfin, les premiers effets de réduction de l’offre ferroviaire en Seine-Maritime commençant à se dessiner sous l’impulsion de la Région, nombre d’élus sont montés au créneau pour défendre les arrêts et les gares menacés. Ce qui fit dire à Sophie Hervé ironisant alors : « Ca commence ! La loi est à peine votée que ses effets indésirables pour les gens commencent… heureusement pour le gouvernement que tous nos collègues ici ne sont pas parlementaires sinon sa réforme ferroviaire n’aurait jamais été adoptée… »

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Pour télécharger la Lettre d’information du groupe consacrée à ce Conseil : En Direct 2018 06

Pour télécharger la version de synthèse de la Lettre d’information : En Direct 2018 06 Synthèse

Retrouvez également les différentes interventions prononcées par les élus du groupe et le résumé des débats sur les délibérations à partir des différents articles publiés ce soir sur ce blog…