Le Département veut offrir un arbre dans chaque berceau ?… Les interrogations de Séverine Botte

Parmi les orientations du Département pour développer les politiques en faveur des arbres et atteindre d’ici 2030, 125.000 arbres supplémentaires, le Conseil départemental du 22 juin s’est vu proposer la création d’un nouveau dispositif : Offrir ou parrainé un arbre par chaque nouveau né. Sans remettre en question l’objectif, Séverine Botte, pour le groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine a soulevé un certain nombre de questions, tout en rappelant dans le même temps l’abattage massif d’arbres décidé par la majorité de droite au Département dans le cadre du projet routier de contournement Est de Rouen qu’elle est désormais la seule à soutenir…

« Monsieur le Président, Chers Collègues,

N’y voyez pas malice de notre part car sur le fonds nous souscrivons à tout ce qui concoure à préserver les arbres et à encourager les plantations nouvelles. Il faut être ambitieux en la matière et les objectifs affichés dans ce rapport le sont.

Mais franchement, placer un arbre nouveau dans chaque berceau ça va être compliqué, et le risque est de voir les bénéficiaires de ce nouveau dispositif se limiter aux propriétaires occupant un pavillon avec jardin.

Parce que pour les locataires d’un appartement, et ils sont nombreux, leur salle-salon et même leur balcon éventuel s’y prête mal !

Je sais, j’ai bien lu, ils pourront aussi parrainer une plantation. Mais j’avoue que les modalités de ce parrainage, et notamment les démarches que les heureux parents devront accomplir m’échappent…

Et, pour ceux qui pourront acheter et planter directement, là encore le rapport nous semble assez flou, d’autant qu’un arbre, même dans un jardin cela ne se plante pas aussi facilement qu’il n’y parait… au risque de se planter et de le voir dépérir…

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Plan Climat 76 : on n’est pas sorti de l’auberge, surtout à cause du projet de contournement routier Est de Rouen !

Le bilan d’étape du Plan Climat 76 était inscrit à l’ordre du jour du Conseil départemental du 22 juin. L’occasion pour le groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine de regretter, par l’intervention de Séverine Botte, le rythme trop timide avec lequel avance le Département pour répondre à la crise climatique et de pointer ses contradictions dans ce domaine essentiel…

« Tout d’abord, je tiens vraiment à remercier les services pour la qualité de ce rapport. Le document est complet avec un grand nombre de données, dont certaines ne vont pas toujours dans le sens de la valorisation de l’action de notre collectivité. C’est une transparence que je salue et qui est indispensable au bon fonctionnement de la démocratie.

Pour débuter sur une note positive, nous nous félicitons du succès du dispositif « Ma prime vélo 76 », le développement de la pratique cyclable doit être soutenu et accompagné. Néanmoins, nous regrettons la logique du premier arrivé, premier servi. Nous souhaitons que ce dispositif devienne pérenne avec une enveloppe non plafonnée annuellement. Disposer d’une aide pour acquérir un vélo électrique ne doit pas se limiter à un effet d’aubaine, mais répondre aussi à un besoin, dans la durée.

Concernant le bilan plus global, le PCET (Plan Climat Energie Territorial) 2010-2020, voté en 2010 sous une autre majorité, fixait pour objectif pour notre collectivité une baisse des émissions de 20 %. C’est un échec collectif, non seulement nous n’avons pas réussi à atteindre les objectifs fixés, mais qui plus est les émissions de CO2 ont continué de croître (+0,1%). 

Face à ce constat, nous escomptions une révision ambitieuse de notre plan climat. Quelle fut notre déception à la lecture des prévisions de réduction d’émissions carbone. Si toutes les actions prévues dans ce plan climat devaient parfaitement fonctionner, elles contribueraient pour moins de 50 % aux réductions nécessaires pour atteindre la neutralité carbone en 2050. Ce rythme n’est pas suffisant.

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Après 9 mois d’une attente bien inutile, le Département vient enfin compléter ses soutiens en faveur des EHPAD

Confrontés notamment à la flambée des prix qui vient s’additionner à des difficultés structurelles, les EHPAD, Résidences autonomie et établissements d’accueil dans le secteur du handicap se trouvent en grande difficulté. En fin d’année dernière, le Département n’avait entendu qu’à moitié leur appel à un financement accru et décidé de compléter son soutien exceptionnelle en milieu d’année. C’est chose faite depuis le Conseil départemental du 22 juin, mais que de temps de perdu comme l’a souligné Alban Bruneau au nom des élus de la Gauche combative, communiste et républicaine fortement mobilisés à chaque conseil sur ce front.

« Monsieur le Président, Chers Collègues, c’est pas trop tôt !

En octobre dernier, l’examen de la délibération annuelle, fixant la tarification des établissements pour l’année 2023 avait suscité de longs débats compte tenu de l’explosion de l’inflation, et des difficultés déjà connues dans les EHPAD, Résidences autonomie et établissements et services pour les personnes en situation de handicap.

Une première série de mesures, comprenant à la fois l’augmentation des tarifs et la création d’une dotation exceptionnelle inflation avait alors été décidée par notre collectivité pour aider les établissements à surmonter leurs difficultés généralisées.

De l’avis de tous ici, ces mesures aussi appréciables étaient-elles, risquaient fort d’être insuffisantes au regard des prévisions économiques, mais aussi des éléments factuels qui nous parvenaient des établissements présents sur nos cantons en cette fin d’année 2022. Et je n’ai pas d’éléments qui m’indiqueraient que des établissements nous auraient demandé d’attendre…

Raison pour laquelle notre groupe avait demandé que l’effort soit plus conséquent quitte à le réajuster à la baisse au cours de l’année 2023 ou à régulariser les situations sur l’exercice suivant.

C’est bien connu, quand on est déjà en déséquilibre, mieux vaut d’abord rétablir l’équilibre pour avancer, plutôt que de continuer à se dépêtrer pour se sortir de l’ornière par paliers.

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Rapport d’activités 2022 des services de l’Etat en Seine-Maritime : Nicolas Langlois interpelle le Préfet sur la dette sanitaire contractée par l’Etat vis-à-vis de ses citoyens

Le 22 juin, le nouveau Préfet de Seine-Maritime, Jean-Benoît Albertini, est venu se présenter devant le Conseil départemental, et présenter par la même occasion le rapport d’activités des services de l’Etat en Seine-Maritime pour l’année 2022.

Il y avait beaucoup à en dire malgré l’engagement fort des agents publics dans tous les secteurs, car trop souvent ces derniers et leurs services sont confrontés au manque de moyens, au délitement de dispositifs et de structures faute d’un investissement sur le budget de la Nation à la hauteur des besoins à couvrir, ou encore à l’excès de dématérialisation. Mais chaque groupe politique était invité à restreindre ses questionnements à un seul thème.

Le groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine, par la voix de son président Nicolas Langlois a choisi le thème de la santé pour interpeller le Préfet…

 

En réponse, le Préfet a notamment indiqué : « Je suis un peu en limite de mes compétences strictes pour vous apporter réponse. Nous avons moins d’installation de médecins en Seine-Maritime que de départs en retraite. Je ne nie pas les constats et les urgences, notamment pour cet été. Pour les éléments structurelles : la meilleure coordination médecins, infirmières, pharmaciens pour libérer du temps de soin, la revalorisation des métiers par les SEGUR 1 et 2, les investissements mobilisés par l’Etat, la Région, le Département, les renforts mobilisés cet été… sont des leviers qui vont aider à avancer ».

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Nouveau dispositif de soutien pour la transition énergétique des EHPAD, des Résidences autonomie et des établissements d’accueil des personnes en situation de handicap

Le Conseil départemental du 22 juin 2023 a délibéré afin de créer un nouveau dispositif très incitatif pour favoriser les investissements des EHPAD, Résidences Autonomie et les établissements pour personnes en situation de handicap, en faveur de la transition énergétique. Une enveloppe budgétaire de 2,9 Millions d’€ permettra de co-financer les dépenses des établissements et services telles que :

  • l’installation de systèmes d’éclairage performants (remplacement de luminaires et appareillages d’alimentation associés par des luminaires à modules LED, système de gestion automatique de l’éclairage, etc.) ;
  • les équipement visant à réduire la consommation d’eau (robinetterie et accessoires, récupérateur d’eau, etc.) ;
  • l’achat de bornes de recharge pour les véhicules électriques…

La prise en charge par le Département s’élève à 80% de la dépense, plafonnée à 20.000 € par structure quel que soit le nombre de projets. Les établissements à but lucratif sont exclus.

Le groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine a soutenu cette initiative, non sans avoir émis quelques réserves et propositions par la voix de Sophie Hervé :

« Notre groupe soutient la création de ce dispositif utile, et très incitatif en raison du taux de financement que va apporter notre collectivité, pour accompagner les établissements dans leurs investissements en faveur de la transition énergétique.

Un dispositif qui vient, c’est important, non pas de substituer mais s’additionner à celui créé pendant la crise Covid, et pérennisé en fin d’année dernière, pour leurs travaux d’aménagement et l’acquisition de matériels.

En revanche, même réserve que celle exprimée lors de sa création, puis de sa pérennisation, nous ne comprenons pas le plafond imposé de 20.000 € par structure, quel que soit le nombre de projets d’investissements qui correspondent aux critères définis, pour décrocher la participation du Département.

Les établissements n’ont pas la même taille, pas les mêmes caractéristiques notamment celles liées aux bâtiments, à leur ancienneté, et si tous connaissent de grosses difficultés financières, certains n’ont même plus, à court terme, de marges d’investissement.

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Expérimentation d’un bus des services publics départemental : Laurent Jacques soutient mais réclame des embauches

Le Conseil départemental du 22 juin 2023 a décidé d’expérimenter, sur les communes de la vallée de la Bresle, un bus itinérant des services départementaux. Trois agents (une secrétaire médico-social, un travailleur social et un conseiller numérique), iront ainsi à la rencontre des usagers, à raison d’une demi-journée par commune. L’accueil pourra se faire sur et sans rendez-vous. Le début de l’expérimentation est fixé sur le dernier trimestre de l’année. 169.108 € sont mobilisés.

Laurent Jacques, pour le groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine, a soutenu ce projet, tout en faisant état de plusieurs réserves assorties de propositions.

« Bien évidemment, on ne peut que trouver louable l’idée de se rendre au plus près des administrés afin de les informer des droits auxquels ils peuvent prétendre sans l’avoir fait jusqu’alors et de les aider à accomplir les formalités.

Ce principe étant posé, la mise en œuvre pose évidemment question. Combien d’idées séduisantes sur le papier se sont révélées désastreuses sur le terrain ? Nous avons bien noté qu’il s’agit là d’une expérimentation, et que des améliorations pourront donc être apportées si sa généralisation est décidée, mais autant orienter ce bus dans la bonne direction dès sa mise en route.

La mobilisation de 3 agents est annoncée mais il ne s’agit pas de personnel supplémentaire. Il semble y avoir des volontaires parmi les agents des CMS et de l’UTAS, mais ces équipes paraissent déjà sous tension. Se contenter de répartir leur présence différemment, au détriment de l’activité menée actuellement, n’est pas une solution acceptable.

Le Département prévoit une dépense de 169 108 € pour le bus et son équipement, mais cela reviendrait à jeter l’argent par les fenêtres si le service n’est pas à la hauteur, faute de moyens humains. Ne jouons pas petit bras. Ne pourrions-nous pas mettre les moyens réellement nécessaires pour le rendu de ce service ?

Quels sont les éléments qui ont amené à choisir la vallée de la Bresle et non toutes les communes rurales de l’UTAS, voire toutes les communes au sens plus large ?

Quels seront les moyens de communication déployés pour faire connaître ce service ? Pour compléter la communication numérique on nous parle de mettre à contribution les mairies, les écoles, les associations. Elles seront sans doute volontaires, mais à condition que le travail soit fait un amont. Un simple envoi de mail ou même l’apposition de quelques affiches ne semble pas suffisant. Il faudra impérativement faire connaître en amont l’arrivée de ce bus auprès des administrés concernés.

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Il faut un plan d’urgence pour l’Aide à l’enfance ! Les élus de la Gauche combative aux côtés des travailleurs sociaux mobilisés devant le Conseil départemental

« 400 mesures de placement et donc d’accompagnement d’enfants ne sont pas appliquées faute de moyens ! Les syndicats CGT du Département et de l’IDHEFI alertent de nouveau aujourd’hui le Conseil départemental. Le système abîme plus d’enfants qu’il ne les soigne, ne les aide ou les rassure. Ce n’est pas acceptable. Pas de grandes messes, ni besoin de réinventer l’eau chaude. Il y a urgence à écouter les propositions des professionnels qui sont sur le terrain au quotidien. Nous sommes à leurs côtés avec mes amis du groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine ». Tel est le message de soutien apporté par Nicolas Langlois aux travailleurs sociaux de l’Aide Sociale à l’Enfance rassemblés ce 22 juin, en ouverture de la séance du Conseil départemental.

Leurs représentants se sont exprimés devant les élus départementaux en début de séance. Un plan d’urgence est nécessaire avec des moyens humains et financiers adaptés à la prise en charge de tous les besoins des enfants et des adolescents.

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Tribune du mois de mai : L’urgent besoin de solidarité du Département face à la baisse du pouvoir d’achat

Tribune du Groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine

Bulletin départemental du mois de mai 2023

L’urgent besoin de solidarité du Département face à la baisse du pouvoir d’achat

  • Quand les prix explosent au point qu’il devient de plus en plus difficile de remplir son caddie et de payer ses factures d’énergie ;
  • Quand les salaires et les pensions ne suivent pas ;
  • Quand aller travailler tous les jours paie de moins en moins ;
  • Quand la pauvreté gagne sans cesse du terrain ;
  • Quand on se trouve privé de soins ;

le Département, en charge des solidarités, a le devoir d’agir en adaptant ses dispositifs et en expérimentant des réponses nouvelles, à hauteur des problèmes rencontrés par un nombre croissant de foyers.

Le Fonds de Solidarité Logement (qui intervient aussi sur l’énergie), ou les dispositifs de solidarité individualisés doivent être accessibles aux salariés aux ressources modestes, ils en sont exclus actuellement ;

Un Revenu minimum d’autonomie pour les jeunes, dont un tiers en Seine-Maritime vivent sous le seuil de pauvreté, doit pouvoir être expérimenté, comme d’autres départements le font ;

Un service public de l’aide à domicile doit être réfléchi pour couvrir 100% des besoins ;

Un tiers des foyers pouvant accéder à un accompagnement financier de solidarité en sont privés, souvent faute d’information ou perdus dans les méandres de la dématérialisation : la lutte contre ce non recours aux droits doit être une priorité.

Ce sont notamment ces propositions qui sont défendues par les élus de la Gauche combative, communiste et républicaine afin que le Département agisse réellement aux côtés des seinomarins pour soutenir leur pouvoir d’achat.

gauchecombative.76@gmail.com

Pour télécharger la tribune : Tribune mois de Mai 2023

Des moyens retirés dans les collèges en REP+ : Alban Bruneau et Sophie Hervé alertent

Comme d’autres collèges en REP+ (éducation prioritaire renforcée), le collège Jacques-Monod du Havre est touché par une baisse des moyens d’enseignement et d’accompagnement des élèves, attribués par les services départementaux de l’Education Nationale en Seine-Maritime pour la prochaine rentrée. En effet, ce collège va accueillir en septembre un effectif supplémentaire, équivalant à une classe, avec des moyens qui ne prennent pas en compte cette situation puisque le nombre de classes restera identique et qu’un poste d’enseignant supplémentaire sera supprimé. D’où à l’évidence une baisse de moyen.

De plus, cette suppression du poste d’enseignant supplémentaire, malgré son utilité avérée, s’inscrit visiblement dans le cadre d’une mesure globale, à l’échelle de notre département et visant à rogner sur les moyens à disposition des établissements REP+, par la suppression de ces postes, pour augmenter la marge d’autonomie accordée aux autres collèges de Seine-Maritime.

Est-ce à dire que l’éducation prioritaire renforcée n’est plus si prioritaire que ne l’affirme le gouvernement ?

Alban Bruneau et Sophie Hervé viennent donc de saisir la directrice des services de l’Education Nationale en Seine-Maritime. Ils lui demandent :

« Si la dotation accordée par le Ministère en faveur du second degré en Seine-Maritime s’avère insuffisante, nous vous remercions de nous en faire part afin que nous puissions intervenir pour y remédier, sans toucher aux moyens dont les collèges REP+ ont besoin.

Mais dans le cas contraire, nous souhaiterions que soit reconsidérée cette décision de suppression du poste d’enseignant supplémentaire au sein du collège Jacques-Monod, et que soit augmentée la dotation horaire globale de cet établissement afin de lui permettre d’ouvrir une 13ème classe capable ainsi d’accueillir les nouveaux élèves, sans entrainer une augmentation du nombre d’élèves par classe. »

Pour télécharger le courrier : Collège Monod LH baisse moyens – AB SH

(Cliquer sur l’image pour agrandir)

Conseil du 24 mars, les élus communistes regrettent un « budget de petits pas qui ne répond ni aux urgences sociales, ni à la crise du pouvoir d’achat »

Le Conseil départemental du vendredi 24 mars a été principalement consacré à l’examen du budget 2023 du département. Le groupe des élus de la Gauche combative, communiste et républicaine a proposé de « faire de la Seine-Maritime un département incontournable, plutôt que de le transformer en simple agence de l’Etat ».

« Alors qu’Emmanuel Macron prépare probablement la fin des départements, les Conseils départementaux doivent agir en dehors des cadres qui lui sont imposés par les politiques gouvernementales, afin de devenir incontournables. Si certains l’ont compris en expérimentant des réponses nouvelles, en dépassant leurs compétences habituelles, en innovant, en agissant avec audace, d’autres comme malheureusement celui de la Seine-Maritime se transforment de plus en plus en simple agences de l’État, dociles, se contentant de mettre en place des guichets d’aides. Il faut d’urgence changer de cap ». Telle est la conviction des élus de la Gauche combative, communiste et républicaine, exprimée une nouvelle fois par Nicolas Langlois lors de l’examen du budget départemental.

Un budget qu’ils n’ont pas voté, regrettant notamment qu’aucune de leurs propositions argumentées lors du débat d’orientations budgétaires le mois dernier, n’ait été retenue, ni même étudiée. Un peu comme si la droite pensait détenir la vérité absolue, toute seule. Pourtant le puissant mouvement social contre sa réforme des retraites et l’impasse dans lequel se retrouve son projet, devrait l’inciter à plus d’ouverture d’esprit…

Ce Conseil du 24 mars a également traité de la baisse des moyens d’enseignement dans les collèges, du logement social, de l’accompagnement des bénéficiaires du RSA, du développement des contrats aidés, du soutien aux investissements des communes ou encore de l’aide à l’acquisition de vélo électrique… et bien sûr de la réforme des retraites !

Alban Bruneau n’a pu y participer, à peine arrivé il a du repartir pour Gonfreville l’Orcher afin d’apporter son soutien et celui de ses camarades du groupe, aux travailleurs en grève sur la raffinerie de Normandie mobilisés contre les réquisitions du Préfet.

Toutes les vidéos et textes des interventions des élus du groupe lors du Conseil départemental du 24 mars sont disponibles en ligne à partir de ce blog et résumé dans leur lettre d’information :

Pour télécharger le lettre d’information : En Direct – Mars 2023

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