Catégorie dans Communiqué

Séverine Botte apporte le soutien du groupe de la Gauche combative aux salariés d’Onéla

Des salariés de l’entreprise Onéla qui intervient sur le secteur de l’aide à domicile pour le compte du groupe privé européen Colisée dont le chiffre d’affaire dépasse le Milliard d’euros étaient rassemblés ce midi à Rouen pour dénoncer l’attitude de leur direction qui n’applique même plus les obligations de leur convention collective.
Résultat d’après nombre de témoignages reçus, une partie des frais liés aux trajets entre les domiciles des bénéficiaires ne sont plus payés, des personnes âgées qui doivent être nourries et couchées dès 17h pour bien rentabiliser les plannings, conditions inhumaines de travail, pression de la montre etc… Ces méthodes, ça suffit !
Séverine BOTTE, Conseillère départementale, au nom du groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine au Département, Céline BRULIN, Sénatrice, et Hubert WULFRANC, Député, sont venus apporter leur soutien aux salariés et saisissent immédiatement l’Inspection du travail.

Conseil départemental du 3 février : Des orientations budgétaires en marche arrière !

Le Conseil départemental de demain débattra des orientations budgétaires 2022 du Département. Au regard des orientations proposées par la majorité des droites, le groupe des élus de la Gauche combative, communiste et républicaine (Séverine BOTTE, Alban BRUNEAU, Maryline FOURNIER, Sophie HERVE, Laurent JACQUES, Nicolas LANGLOIS, Christine MOREL et Joachim MOYSE) a décidé de communiquer dès à présent à travers une expression publique.

Affaiblie par 5 années d’application de l’austérité qui ont mis à l’os les capacités de solidarité de la collectivité départementale (*), le Département de Seine-Maritime aura mis 1 an après le déclenchement de la crise sanitaire pour réagir à travers différents dispositifs de soutien utiles (mars 2021).

Et alors que la crise n’est pas terminée, les orientations budgétaires proposées demain par la majorité des droites ne prévoient pas de les maintenir.

Des orientations qui ne prévoient pas non plus d’intervention pour soutenir le pouvoir d’achat des ménages pris en étau entre la stagnation des salaires et des pensions, et la forte hausse des prix.

Face à l’explosion des factures énergétiques, le Département ne joue pas son rôle de collectivité des solidarités en ne se donnant pas les moyens d’être aux côtés des habitants pour qui c’est insupportable. Le Fonds de solidarité logement se réduit d’ailleurs comme peau de chagrin.

De plus, aucune expérimentation d’un revenu universel pour les jeunes n’est envisagée ; la majorité refuse de donner suite à la création de centres de santé dans les déserts médicaux avec embauches de médecins salariés, ou encore d’affecter des moyens supplémentaires pour les Centre Médico-Sociaux de proximité…

A cela s’ajoute une complaisance incompréhensible à l’égard des décisions gouvernementales qui continuent de diminuer le pouvoir d’agir des collectivités locales et leur autonomie.

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Situation dramatique au Burkina-Faso : Christine Morel sollicite une aide d’urgence du Département

Les attaques Djihadistes se multiplient au Burkina-Faso, poussant de nombreux réfugiés des villages du Nord à s’exiler dans les villages de la province du BAM qui se retrouve dans l’incapacité humaine et matérielle d’accueillir ces femmes et ces hommes à qui il ne reste plus rien.

Une situation dramatique qui appelle une intervention humanitaire urgente, et notamment de la part du Département de Seine-Maritime engagé de longue date dans une coopération internationale avec cette province.

C’est ce que Christine Morel, Conseillère départementale et Maire d’Harfleur, propose au Président du Département dans un courrier qu’elle vient de lui adresser.

Pour télécharger le courrier de Christine Morel : Situation au Burkina – Courrier au Président

Tribune du mois de janvier : Une bonne année 2022 ? Nous vous la souhaitons ainsi !

Tribune du Groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine

Bulletin départemental du mois de janvier 2022

Une bonne année 2022 ? Nous vous la souhaitons ainsi !

Parce que la crise sociale, écologique et démocratique appelle en cette annéed’élections des solutions et décisions nouvelles :

  • pour rompre avec la fabrique d’inégalités et d’injustices qui fait tant de mal aux gens et à l’environnement ;
  • pour replacer l’humain au cœur de la société et retisser les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité ;

Et parce que nous avons tous mérité un avenir meilleur que le présent que l’on nous impose ;

Nous vous souhaitons une bonne année !

En tenant à associer à ces vœux nos pompiers qui bataillent pour obtenir les moyens nécessaires pour tout simplement faire leur métier : celui de pouvoir répondre immédiatement à tout appel aux secours. Chaque minute étant salvatrice ou fatale selon les effectifs et les outils dont nous les dotons.

Le Département étant le principal financeur du Service d’Incendie et de Secours (SDIS), agissons pour qu’ils soient enfin entendus.

La Seine-Maritime, 2e département en matière d’exposition aux risques, consacre 68€ par habitants au fonctionnement du SDIS, contre 90 € pour les autres SDIS de même catégorie.

En cette période où ils viennent nous présenter leur calendrier, rappelons-leur par notre accueil et notre soutien combien nous leur sommes reconnaissants de leur engagement.

Ce sont ces propositions que nous portons au quotidien et que nous avons défendues lors du dernier Conseil départemental.Pour celles et ceux qui veulent mener ces batailles à nos côtés, contactez-nous : gauchecombative.76@gmail.com

Pour télécharger la tribune : Tribune mois de Janvier 2022

Démarche de Maryline Fournier et Nicolas Langlois pour renforcer les conditions de scolarité et d’enseignement sur le SIVOS des Vallées

Les communes de Freulleville, Saint-Vaast-d’Equiqueville et Ricarville du Val, composant le SIVOS des Vallées, vont être prochainement touchées par d’importants travaux de voirie sur les routes départementales.

Des travaux qui vont compliquer les déplacements, notamment scolaires, et perturber le fonctionnement des écoles.

Raison pour laquelle, les trois maires ont saisi les services départementaux de l’Education Nationale pour formuler diverses propositions destinées à renforcer, durant cette période difficile, les conditions de scolarité et d’enseignement.

Les conseillers départementaux du canton, Maryline FOURNIER et Nicolas LANGLOIS, ainsi que le Député Sébastien JUMEL, leur apportent leur soutien en saisissant à leur tour la Direction départementale de l’Education Nationale.

Pour télécharger le courrier : SIVOS des Vallées, courrier au DASEN

Pour télécharger la réponse favorable obtenue : SIVOS des Vallées, réponse DASEN

Alerte sur la dégradation du climat social au sein de la collectivité départementale

« Depuis plusieurs mois, les élus départementaux, et notamment ceux du groupe de la Gauche combative, sont destinataires, par tracts, courriers ou messageries, d’un certain nombre d’alertes, et pas seulement de la part des organisations syndicales représentant les agents Départementaux. Ces alertes mettent en cause des situations de souffrance au travail et de dégradation des conditions de travail qui ne se limitent pas visiblement aux seules conséquences de la gestion de crise sanitaire. »

C’est à partir de ce constat que Nicolas LANGLOIS, président du groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine au Conseil départemental, vient de saisir le Président du Département, en ajoutant que « ce constat rejoint d’ailleurs ce qu’il s’exprime directement auprès de nous, dans nos cantons, par des agents de la collectivité, dans le secteur des solidarités notamment. »

Dans son courrier, il souligne « qu’un nouveau seuil d’alerte a été franchi par le refus de deux organisations syndicales de siéger à la réunion du CHSCT, pour dénoncer ainsi l’absence de réponses à certaines situations urgentes dans des équipes qui seraient désormais en danger ou aux prises avec des conditions de travail dégradées. »

Et il rappelle également « qu’au cours du dernier Conseil départemental, les élus de mon groupe et moi-même sommes intervenus à plusieurs reprises, à l’occasion de plusieurs délibérations, pour relayer ces inquiétudes et nous inquiéter de la dégradation du climat social et du dialogue social au sein de la collectivité départementale. »

Avant d’indiquer que « dans ces conditions, il nous parait nécessaire de formaliser, de nouveau et à travers ce courrier, ces inquiétudes, en vous sollicitant afin d’être destinataire des réponses urgentes que vous allez apporter, n’étant pas membre des instances paritaires. Notre seul souci est de vérifier ainsi que ces réponses sont et seront apportées dans l’intérêt des agents des services publics départementaux et par conséquent dans celui de la collectivité et des usagers. »

En conclusion, les élus du groupe disent leur disponibilité « afin d’apporter tout élément complémentaire concernant ces demandes. »

Pour télécharger le courrier : Climat social, courrier au Président

Pour télécharger la réponse obtenue : Climat social, réponse du Président

Travaux routiers SIVOS des Vallées : Nicolas Langlois et Maryline Fournier demandent des aménagements

Des travaux routiers importants et attendus, sont programmés sur les ouvrages et les routes départementales du SIVOS des Vallées, aux alentours de Ricarville-du-Val, Saint-Vaast-d’Equiqueville et Freulleville. Cependant, en l’état actuel du projet, ces travaux vont allonger considérablement les temps de trajet pour les enfants, notamment pour les plus jeunes.

D’où des propositions d’aménagement, à travers la prise en charge de locaux modulaires (dans le cadre du coût global des travaux de voirie) déposées par les maires de ce SIVOS. Un aménagement qui permettrait de rassurer la population et de garantir une ruralité vivante, dont l’école est l’un des piliers.

Nicolas Langlois et Maryline Fournier, Conseillers départementaux, ainsi que le Député Sébastien Jumel sont intervenus auprès du Président du Département pour soutenir cette proposition, et pour demander d’être associés aux temps d’échanges et de travail mis en place autour de ce projet.

Pour télécharger leur courrier : SIVOS des Vallées – Projet routier

Soutien à la mobilisation contre la casse des ULIS

« A quand une véritable inclusion scolaire, dans le respect des élèves, des enseignants et des familles ? » c’est sous cette interpellation du gouvernement en forme de revendication, que les 8 Conseillers départementaux du groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine au Département (Séverine BOTTE, Alban BRUNEAU, Maryline FOURNIER, Sophie HERVE, Laurent JACQUES, Nicolas LANGLOIS, Christine MOREL et Joachim MOYSE) et les 4 parlementaires communistes de Seine-Maritime (Céline BRULIN, Sébastien JUMEL, Jean-Paul LECOQ et Hubert WULFRANC) apportent leur soutien à la mobilisation demain à Rouen contre la casse dont est victime le dispositif ULIS (Unités Localisées pour l’Inclusion Scolaire).

Ils publient à cet effet un communiqué commun :

« Dans de nombreux collèges* de Seine-Maritime, la rentrée scolaire a été chaotique pour les élèves orientés en ULIS et leurs familles, en raison de l’absence de coordinateurs : le résultat d’un « jeu de chaises musicales » qui a vu les enseignants spécialisés réaffectés dans les ULIS de primaire et des vacataires non formés prendre leur place dans le secondaire, après quelques semaines d’attente. A ce début d’année difficile, s’ajoute à présent le projet d’augmenter dès décembre les effectifs en ULIS…des unités qui accueillent pourtant des élèves qui ont besoin d’un accompagnement individualisé.

Pour nous, c’est non ! Nous soutenons la large mobilisation à l’appel des syndicats CGT, FSU Snes et Snuipp, Sud Éducation, FO, SNALC, SNCL et de la FCPE mercredi 1er décembre à 15h à Rouen.

Attentifs depuis de très nombreuses années aux moyens affectés aux classes ULIS et plus généralement à la réalité de l’inclusion scolaire sur le terrain, nous savons que les maîtres mots pour une scolarité réussie des enfants orientés en ULIS sont l’accompagnement individualisé, qui permet de progresser à son rythme, et un cadre sécurisé et rassurant, donc des effectifs faibles.

Pour les enseignants qui les accompagnent sur leur chemin d’élèves, la limite actuelle de 12 élèves par classe est absolue : elle permet une attention à chacun et garantit une prise en charge efficace lorsqu’un élève connaît des troubles du comportement.

Au cours de cette année scolaire déjà fortement perturbée par le contexte sanitaire, il est urgent que, collectivement, nous affirmions ce que nous voulons pour l’inclusion scolaire :

– Ne pas augmenter le nombre d’élèves par ULIS mais créer de nouvelles unités là où il y en a besoin ;

– Recruter des enseignants du premier degré spécialisés et former de nouveaux enseignants volontaires, pour le premier et le second degré ;

– Renoncer à la mauvaise réforme des Pôles inclusifs d’accompagnement localisé (PIAL) qui obligent les Accompagnants d’Elèves en Situation de Handicap à faire du saupoudrage de leur temps entre les élèves qu’elles et ils soutiennent ;

– développer l’ensemble des structures spécialisées pour accueillir tous les enfants qui sont orientés par la MDPH et éviter les affectations « par défaut » et les ruptures de parcours ;

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Tribune du mois de novembre : Urgence santé, la Gauche combative appelle à des solutions concrètes

Tribune du Groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine

Bulletin départemental du mois de novembre 2021

Urgence santé, la Gauche combative appelle à des solutions concrètes

Il ne se passe pas une journée sans que nous ne soyons alertés par des habitants sans médecin traitant (170.000 seino-marins sont concernés), et par des patients qui attendent des mois une consultation de spécialiste ou de dentiste.

Nos hôpitaux, parce qu’ils n’ont pas été réarmés pour couvrir les besoins sanitaires, sont en peine, des opérations et des suivis ont été déprogrammés en masse pour cause de Covid et manque de moyens. Les dépistages de maladies ont reculé. La psychiatrie est en souffrance.

Il est urgent de s’attaquer au problème de démographie médicale, trouver, inventer des solutions au manque de dentistes et médecins : Ouvrir une fac dentaire, créer des centres de santé, proposer de salarier des praticiens, tant qu’il n’y a pas une loi courageuse pour imposer de s’installer là où sont les besoins.

Nous devons renforcer le réseau des PMI, améliorer la prévention, renouer avec une médecine scolaire digne de ce nom, créer une mutuelle départementale. Et obtenir du ministre un plan de rattrapage des moyens pour la santé en Seine-Maritime et particulièrement pour nos hôpitaux.

Le Département doit s’engager à investir, notamment dans nos EHPAD et les établissements médico-sociaux.

Ce sont ces propositions d’urgence que nous portons au quotidien et que nous avons défendues lors du dernier Conseil départemental. Pour celles et ceux qui veulent mener ces batailles à nos côtés, contactez-nous :

gauchecombative.76@gmail.com

Pour télécharger la tribune : Tribune mois de Nov 2021

Encore une réorganisation à la baisse des bureaux de poste du Havre ? Sophie Hervé demande des comptes

Sophie HERVE, Conseillère départementale du Havre et membre de la Commission Départementale de Présence Postale Territoriale, s’inquiète des conséquences du projet de réorganisation qui semble actuellement se définir sous l’impulsion de la direction régionale du groupe La Poste. Un projet qui viserait une nouvelle réduction des amplitudes horaires de certains bureaux du Havre à l’horizon du début d’année 2022, et d’éventuelles fermetures d’autres bureaux.

De sources syndicales, les bureaux de Graville, du quartier de l’Eure (qui est d’ailleurs fermé depuis plusieurs jours) et du Palais de justice serait impactés par une diminution de leurs plages horaires d’ouverture aux usagers, et celui de Montmorency serait concerné par une fermeture.

L’élue vient donc de saisir par courrier la direction de La Poste en expliquant que « ces éléments sont particulièrement anxiogènes pour vos agents et pour les usagers, dont nous connaissons l’attachement à un accès de proximité aux services postaux. Ils sont également difficilement compréhensibles dans une période où chacun appelle à plus de services publics au plus proche des lieux de vie. Si je ne doute pas que la période de crise sanitaire ait pu avoir des conséquences sur le niveau de fréquentation de vos bureaux, je pense que les raisons multiples qui expliquent cette situation et dont certaines sont visiblement de la responsabilité de votre groupe qui n’a pas toujours été en capacité de maintenir ses services, méritent de ne pas se précipiter dans une nouvelle réduction des horaires et du maillage des bureaux de poste. Sans compter qu’en diminuant les possibilités d’accéder à vos services, vous encouragez de fait une partie des usagers à chercher d’autres solutions auprès de vos concurrents.« 

Sophie HERVE appelle la direction régionale à communiquer et s’expliquer sur ses projets en cours.

Pour télécharger le courrier de Sophie HERVE : La Poste réorga LH

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