Catégorie dans Communiqué

Centre d’Incendie et de Secours du Havre-Caucriauville en pénurie : Alban Bruneau, Sophie Hervé et Christine Morel en appellent au Président du SDIS

« 8 à la garde, un seul sergent pour 12 engins, LH sacrifié », « Effectif journalier opérationnel prévu : 15. Effectif réel aujourd’hui : 8. »… les pompiers du Centre d’Incendie et de Secours du Havre-Caucriauville qui couvre notamment tout l’Est de l’agglomération Havraise, alertent sur la dégradation de leurs conditions d’intervention et de travail.

Un message reçu aussitôt par Alban BRUNEAU, Sophie HERVE et Christine MOREL, Conseillers départementaux communistes de l’agglomération Havraise, qui viennent d’interpeller le Président du SDIS (Service Départemental d’Incendie et de Secours).

Au-delà de l’alerte relayée, ils demandent « que l’effectif de ce centre soit renforcé et que ses agents puissent bénéficier de toute l’attention et de l’accompagnement de leur hiérarchie dans cette période si difficile », et ils sollicitent « de pouvoir disposer d’un état rétrospectif du nombre d’interventions prises en charge par ce centre, accompagné de l’état rétrospectif des effectifs affectés à ce C.I.S. du Havre-Caucriauville. »

Pour télécharger le courrier envoyé : Let SDIS le Havre Caucri

Pour télécharger le courrier de réponse reçu du SDIS : Let SDIS le Havre Caucri réponse

Plus d’éléments à partir du lien : actu.fr/normandie/le-havre_76351l

Aucun agent SNCF en dehors du conducteur à bord des TER ?! Les élus de la Gauche combative dénoncent ce projet

Différents courriers adressés par les élus du groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine, au directeur régional de la SNCF et au président de Région, relayent « la forte et légitime inquiétude exprimée par les élus locaux et par les usagers du rail, face au projet d’accompagnement non systématique sur les trains express régionaux ; projet présenté aux élus du personnel de la SNCF de Normandie dans le cadre du prochain projet de service annuel au titre de l’année 2022. »

Ils leur demandent le retrait de ce projet par la SNCF « afin de maintenir un accompagnement humain indispensable auprès de ses usagers dans tous les trains circulant sur notre département et notre région. »

Extraits :

(Cliquer sur les images pour agrandir) : 

« Le simple fait de savoir pour les usagers que seul le conducteur est présent à bord est facteur d’anxiété et d’insécurité. Sans compter qu’ils ne bénéficient plus d’interlocuteur en mesure de les renseigner, de les orienter ou de répondre à des soucis créés par des comportements inciviles émanant de certains autres passagers. Nous ne doutons pas que si une étude a été conduite auprès des usagers de trains dépourvus de contrôleurs, ces éléments vous ont déjà été remontés. Dans ces conditions vouloir généraliser ce système déshumanisé aux trains des lignes fortement fréquentées est incompréhensible. »

« Au-delà de ces éléments, nous ne parvenons pas à comprendre non plus comment, en cas d’accident ou de déclenchement du signal d’alarme, la situation de crise pourrait être gérée par le seul conducteur ? »

« S’agissant des titres de transport, nous savons bien, et la Défenseure des droits s’en est émue récemment, que les dispositifs de délivrance en gare ou via Internet ne couvrent pas les besoins, et que les contrôleurs demeurent des interlocuteurs utiles et attendus à bord des trains pour s’assurer que l’usager dispose du bon titre de transport. »

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Terminaison de la RN27 et viaduc de la Scie : la mobilisation citoyenne pour mettre l’Etat devant ses responsabilités

Nicolas LANGLOIS et Maryline FOURNIER, Conseillers départementaux, étaient présents sur le rassemblement organisé ce soir, aux côtés de nombreux élus dont le député Sébastien JUMEL et la sénatrice Céline BRULIN, et de citoyens du territoire Dieppois, pour exiger la fin des travaux de la RN27 (axe Rouen/Dieppe) et la mise en service du viaduc de la Scie.

(cliquer sur les images pour agrandir)

Déclaration de Nicolas Langlois :

« RN27 terminons le tronçon. On y était ce soir, sur le viaduc. On est pressé qu’il ouvre ce viaduc. Les précieuses minutes gagnées faciliteront la vie des milliers de salariés et d’habitants qui empruntent la route pour aller bosser. Ces minutes sont aussi importantes pour les entreprises du territoire et celles qui veulent s’y installer.
Un coup, on nous annonce Juillet 2022. Un coup Juin. Nous, on veut que ce soit le plus vite possible, dès Mars.
Et dès maintenant, il faut se pencher sur sa prolongation jusqu’à Dieppe pour faire le lien avec le nord du territoire, avec les Villes Sœurs et les Hauts de France. Forts de notre rassemblement ce soir, nous saurons nous faire entendre. »
 
 
 
Pour visionner la vidéo de la mobilisation : RN27 viaduc de la Scie
 

Dispositifs ULIS des collèges de l’arrondissement de Dieppe : Nicolas Langlois et Maryline Fournier alertent

La rentrée des élèves inscrits dans les dispositifs ULIS (Unités localisées pour l’inclusion scolaire) des collèges Delvincourt et Braque à Dieppe, et Monet à Saint-Nicolas-d’Aliermont s’est heurtée à une carence de moyens déployés par la direction départementale de l’Education Nationale. Une situation préjudiciable pour les élèves, leurs familles, et incompréhensible au regard des engagements pris par l’Etat en faveur de la scolarisation des élèves en situation de handicap.

Après plusieurs démarches directes, Nicolas Langlois et Maryline Fournier, Conseillers départementaux, viennent de saisir officiellement le directeur des services départementaux de l’Education Nationale (DASEN) pour que des solutions concrètes soient trouvées rapidement pour remédier aux difficultés constatées.

(Cliquer sur la vignette pour agrandir ou télécharger le courrier ci-dessous)

Pour télécharger le courrier envoyé au DASENUlis collèges arrondissement Dieppe

Revalorisation des salaires des Aides à domicile : les élus de la Gauche combative demandent une application immédiate

Le salaire moyen des personnels de l’Aide à domicile est aujourd’hui de 960 Euros net par mois ; seulement un salarié sur deux du secteur bénéficie d’un salaire supérieur au SMIC après plus de 10 ans d’ancienneté ; et nombreux sont ceux qui vivent en pleine précarité. « Une situation inversement proportionnelle à l’utilité de ces métiers pour les usagers concernés, leur famille et toute la société », comme le souligne Nicolas Langlois, au nom des élus du groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine au Département (Séverine Botte, Alban Bruneau, Maryline Fournier, Sophie Hervé, Laurent Jacques, Nicolas Langlois, Christine Morel et Joachim Moyse), dans la réponse qu’il vient d’adresser à plusieurs associations.

Celles-ci ont en effet interpellé les élus départementaux pour obtenir leur soutien afin que les Départements acceptent de cofinancer la revalorisation salariale des Aides à domicile, obtenue nationalement à travers l’avenant 43 de leur convention collective, après 4 années de négociation.

Cette négociation permet d’améliorer l’attractivité des métiers de ce secteur, avec une augmentation de la masse salariale de 15% en moyenne hors charges, la remise à niveau du premier échelon 1% au-dessus du SMIC, ainsi qu’une augmentation mensuelle de 324,50 Euros pour les Auxiliaires de vie et les aides-soignants nouvellement embauchés.

Applicables dès le 1er octobre, ces mesures doivent être financées à 70% par l’Etat en 2021, puis à 50% à partir de 2022, le reste étant à charge des Départements qui l’accepteront.

Un message reçu 5 sur 5 par les élus du groupe de la Gauche combative qui interviendront à ce sujet dès le prochain Conseil départemental du 30 septembre. Un engagement du groupe que son président Nicolas Langlois vient de confirmer, en rappelant que les élus qui le composent, ont défendu pendant la campagne électorale des élections Départementales, la nécessité de « mieux accompagner nos aînés avec une meilleure reconnaissance du métier d’aides à domicile » : « Par nos actions et les positions que nous prenons régulièrement dans le cadre de nos différents mandats, nous soutenons la nécessité de revaloriser leurs salaires et d’agir pour sécuriser leurs emplois ou encore pour améliorer leurs conditions de travail. Des appels et des propositions en ce sens ont été lancés également par les Conseillers départementaux communistes sous l’ancien mandat qui s’est achevé en juin ».

Pour autant, les élus de la Gauche combative tiennent également à rappeler qu’il ne peut ici s’agir que d’une étape, et que « l’Etat doit assumer enfin toutes ses responsabilités, à travers notamment la création d’un service public de l’aide à domicile assurant des financements pérennes qui soient effectivement à la hauteur des enjeux, pour les usagers comme pour les salariés ».

Démonstration à l’appui, Nicolas Langlois souligne que « depuis des années, pour ne prendre que cet exemple, la part de financement de l’Etat dans les allocations obligatoires de solidarité (RSA, PCH, APA) dont il fixe pourtant les montants et conditions d’attribution, a été réduite en Seine-Maritime de 1,1 Milliard sur les 6 ans du précédent mandat. Un reste à charge que la collectivité départementale a donc du couvrir et qui représente, pour donner un ordre de grandeur, une somme supérieure au niveau d’endettement du Département ! ».

Il conclut par conséquent que « si les Départements doivent être maintenus dans leurs compétences de proximité et missions de solidarité auprès des acteurs du secteur des aides à domicile, ils ne peuvent plus continuer à se substituer aux carences de l’Etat dans les financements à garantir ».

Pour télécharger le courrier envoyé aux associationsRéponse groupe courrier SAAD avenant 43

 

Tribune de septembre 2021 : Il faudra compter avec la Gauche combative renforcée au Département

Tribune du Groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine

Bulletin départemental du mois de septembre 2021

Il faudra compter avec la Gauche combative renforcée au Département

Un grand merci aux électeurs pour la confiance qui nous a été accordée : nous sommes désormais 8 élus, des élus sur le terrain, pour agir et défendre un Département qui prend soin.

Pendant les 6 prochaines années, plutôt que d’expliquer comment se passer du Département, nous voulons qu’il soit incontournable.

Nous voulons travailler à réparer les vies, nous voulons être utiles aux gens, vous être utiles.

C’est votre voix que nous ferons entendre, c’est vos besoins que nous ferons connaître.

Dans cette période de triple urgence sociale, écologique et démocratique, la crise sanitaire renforce les combats qui sont les nôtres : pour notre système de santé, pour un service public qui garantit que chaque citoyen puisse faire valoir ses droits, contre les emplois précaires et contre la logique ultra-libérale qui ignore l’humain…

Nous serons de toutes les résistances aux mauvais coups, déterminés à refuser, dès cet automne, les mauvaises réformes des retraites et de l’assurance-chômage.

Nous le ferons avec énergie. Avec nous, la colère est aussi synonyme d’espoir et de changement. Pour vivre mieux. En nous mêlant de tout ce qui concerne vos vies. Pour nous, chaque habitant compte, chaque commune doit compter.

 C’est cette belle ambition que nous allons porter, en transparence et avec clarté, au cours de ce mandat.

Pour celles et ceux qui veulent mener ces batailles à nos côtés, contactez-nous : gauchecombative.76@gmail.com

Pour télécharger la tribune : Tribune mois de sept 2021

Baisse du nombre d’heures d’enseignement des langues étrangères au collège Picasso de SER : Séverine Botte et Joachim Moyse saisissent le DASEN

Le Conseil d’administration du collège Pablo-Picasso à Saint-Etienne-du-Rouvray a adopté une motion, lors de sa séance du 5 juillet dernier, pour exprimer son inquiétude quant au maintien durable de la diversité des offres pédagogiques proposées aux élèves au sein de cet établissement. Cette alerte concerne, sur un plan général, la réduction constatée et regrettée des enseignements proposés en langues étrangères, et sur un aspect plus particulier, les craintes d’une réduction voire d’une disparition à terme de l’enseignement du Portugais.

Or, le Portugais demeure une langue pratiquée, recherchée et utile sur la bassin de population de l’agglomération rouennaise.

Au regard de ces éléments, Séverine Botte et Joachim Moyse, Conseillers départementaux, ont saisi le Directeur départemental des services de l’Education Nationale pour connaître les orientations et mesures prises pour assurer l’avenir de cet enseignement.

Pour télécharger le courrier envoyéPicasso SER enseignement Portugais – SB JM

Pour télécharger la motion du collègeMotion collège Picasso

Pour télécharger le courrier de réponse reçu : Picasso SER enseignement Portugais – Réponse EN

 

RD111, carrefour de la côte de Rogerville, Alban Bruneau et Sophie Hervé demandent et obtiennent la convocation du collège de sécurité routière

Sollicités par des riverains de la RD111 sur la commune de Rogerville, et plus précisément à hauteur de son intersection avec la rue du Père Arson et la rue René Coty, afin de renforcer la sécurité routière, Alban BRUNEAU et Sophie HERVE, Conseillers départementaux du canton, viennent de saisir le Vice-président du Département en charge des infrastructures.

Ils lui demandent notamment de convoquer sur site le collège départemental de sécurité routière afin de rechercher, dans le dialogue avec la commune, des solutions (aménagements et/ou modification de la règlementation routière sur ce secteur) pour sécuriser les lieux et particulièrement les cheminements piétons.

Par courrier en date du 26 juillet, le Président du Conseil départemental a donné son accord pour la convocation du collège départemental de sécurité routière.

(Cliquer sur les images pour agrandir)

Pour télécharger le courrier :  RD111 – Rogerville – Courrier AB SH

Pour télécharger le réponse :  RD111 – Rogerville – Courrier Pdt DD

Rentrée scolaire : les moyens ne sont pas à la hauteur des besoins. Nicolas Langlois intervient en CDEN

Après 6 années d’absence forcée, les Conseillers départementaux communistes ont fait leur retour, lundi 5 juillet, au sein du Conseil Départemental de l’Education Nationale (CDEN), instance qui émet des avis notamment sur les différentes mesures de carte scolaire préparée par la direction de l’Education Nationale.

C’est Nicolas Langlois, Maire de Dieppe, qui siège désormais au sein de ce Conseil, Christine Morel, Maire d’Harfleur, étant sa suppléante.

L’occasion pour lui de dénoncer lundi, des moyens qui demeurent insuffisants au regard des besoins à couvrir à la rentrée.

Suite à cette réunion, et avec le soutien des parlementaires Sébastien Jumel, Hubert Wulfranc, Jean-Paul Lecoq et Céline Brulin, il a donc saisi directement le ministre.

Ils rappellent ensemble que « les mesures de carte scolaires qui sont intervenues en février dernier ont provoqué la colère des enseignants, des parents d’élèves et des élus locaux. Plus de 250 élus normands issus d’horizons divers vous ont fait parvenir un appel demandant que la carte scolaire ainsi que l’attribution des Dotations Horaires Globales aux établissements prennent en compte la situation sanitaire et le besoin d’accompagnement renforcé des élèves. Dans notre département de Seine-Maritime, malgré les ajustements annoncés suite au Comité Technique Spécial Départemental (CTSD) du 29 juin, trop de situations restent problématiques. »

Avant de détailler les situations restant problématiques et qui appellent des décisions positives avant la rentrée, donc des moyens supplémentaires.

(Cliquer sur l’image pour agrandir ou la télécharger ci-dessous)

Pour télécharger le courrier adressé au Ministre : Lettre au Ministre – rentrée scolaire

Actu.Fr : https://actu.fr/.html

Installation du Conseil départemental avec un groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine renforcé

Aujourd’hui séance d’installation du nouveau Conseil départemental de Seine-Maritime issu des urnes dimanche dernier.

Avec le double d’élus par rapport au précédent mandat, le groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine au Conseil départemental de Seine-Maritime va faire entendre plus fortement encore sa voix et ses propositions au cours des sept prochaines années.

Lors de l’élection du Président du Département, et constatant à regret que la Gauche n’est pas majoritaire au Conseil départemental, le groupe a exprimé sa conviction que « la crise sociale et démocratique appelle de la clarté, des repères et non de rajouter de la confusion en privilégiant les négociations et accords de couloir, sur les expressions et positions exprimées publiquement ». Raison pour laquelle, il a tenu à présenter la candidature de Nicolas Langlois lors des trois tours de scrutin.

Ce dernier a souligné que « l’absence de dynamique au second tour des Régionales et l’insuffisance du nombre de cantons ayant élu un binôme de gauche au soir des Départementales, ne permet pas de pouvoir compter une majorité de Gauche au sein du Conseil départemental. Rien ne sert dans ces conditions à chercher de contourner ce verdict des urnes, en recourant à des artifices qui écœurent les gens, et qui ne donneraient pas plus une majorité stable au Département ».

A l’issue du scrutin, le président sortant, Bertrand Bellanger a été réélu avec les voix des droites agglomérées et il pourra assurément compter sur les votes réguliers des deux élus déclarés « indépendants » ; ceux-ci ayant voté lors du précédent mandat la quasi-totalité des délibérations et budgets présentés.

Quant aux élus du groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine, ils vont, comme l’a proclamé Nicolas Langlois « travailler à réparer des vies et être utiles aux gens comme nous l’avons toujours fait ».

Concernant les autres délibérations inscrites à l’ordre du jour :

  • Le groupe accroit sa représentation au sein de la Commission Permanente du Département, passant de 2 élus à 5 élus dans cette instance : Sophie Hervé, Joachim Moyse, Séverine Botte, Nicolas Langlois, Maryline Fournier. Il fait également son entrée au sein de la Commission d’Appel d’Offres départementale avec Joachim Moyse en titulaire et Christine Morel en suppléant.
  • Mais surtout, après 6 années d’absence forcée, il a obtenu de nouveau un siège au sein du Conseil départemental de l’Education Nationale (CDEN) qui se prononce sur toutes les mesures scolaires en Seine-Maritime. Nicolas Langlois, suppléé par Christine Morel, ne manqueront pas, dès lundi prochain, de peser au sein de ce conseil contre les projets de fermetures de classes à la rentrée qui vont à l’encontre de l’intérêt des élèves et de leurs familles.

Composition du Conseil départemental : 70 élus sur 35 cantons

  • Groupe des droites : 34 élus sur 17 cantons
  • Groupe socialiste : 24 élus sur 14 cantons
  • Groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine : 8 élus sur 5 cantons
  • Groupe des Verts : 2 élus sur 2 cantons
  • Groupe des indépendants : 2 élus sur 1 canton.

Composition du groupe de la Gauche combative, communiste et républicaine :

  • Nicolas LANGLOISMaire de DieppeConseiller départemental, Président du groupe
  • Séverine BOTTE, 1ère Adjointe du Maire d’Oissel, Conseillère départementale
  • Alban BRUNEAUMaire de Gonfreville l’Orcher, Conseiller départemental
  • Maryline FOURNIERMaire d’Arques-la-Bataille, Conseillère départementale
  • Sophie HERVE, Conseillère municipale du Havre, Conseillère départementale
  • Laurent JACQUESMaire du Tréport, Conseiller départemental
  • Christine MORELMaire d’Harfleur, Conseillère départementale
  • Joachim MOYSEMaire de Saint-Etienne-du-Rouvray, Conseiller départemental

Pour télécharger l’intervention de Nicolas LANGLOIS : Election du Président – intervention NL

Pour visionner en vidéo l’intervention de Nicolas LANGLOIShttps://www.facebook.com/MairedeDieppe/videos/341158670945989

Pour télécharger le communiqué du groupe : Communiqué du groupe

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